Message du 8 septembre 2023





Mes petits enfants,

Mon Église catholique n’est pas une caverne de brigands (cf. Mt 21, 12-13). Je ne peux y tolérer ni le lucre, ni le mensonge, ni la corruption, ni l’impureté, ni tout autre péché sous quelque forme que ce soit, parce que je l’ai voulue sainte. Même les nouveau-nés au cours de leur Baptême – et malgré leur apparente innocence – doivent être arrachés au pouvoir de Satan par un exorcisme et vivifiés par ma force pour être en mesure de lutter contre les puissances des ténèbres tout au long de leur vie. Les catéchumènes, pour leur part, doivent passer par les différentes étapes d’une initiation à l’issue de laquelle ils s’engagent à renoncer à Satan et à vivre chrétiennement. Et lorsque vous avez péché, vous devez vous aussi, mes enfants, par le sacrement de la Réconciliation (cf. Jn 20, 23), être lavés de vos fautes pour vous trouver à nouveau dans la communion de mon Église.

Ma chère Église étant mon Corps Mystique, il est nécessaire que vous compreniez qu’elle ne peut s’agréger que des êtres prêts à renoncer aux forces du Mal qui régissent le monde, à s’ancrer solidement dans une foi sincère, à vivre de mon Évangile et à rechercher la perfection. Ainsi, nul ne peut être membre de mon Corps s’il ne se résout à couper avec les structures de péché qui alourdissent son âme et qui polluent sa chair. C’est pourquoi nul ecclésiastique, quel que soit le rang qu’il occupe au sein de mon Église, n’a le droit d’agréer – et encore moins de légitimer – des désirs malhonnêtes et des actes vicieux, fût-ce par pitié ou par compassion, car ces désirs et ces actes sont fondamentalement incompatibles avec ma pureté et avec mon amour. 

La spécificité d’une toiture étant d’abriter l’intérieur de la maison qu’elle couvre, toléreriez-vous d’y voir poser des tuiles poreuses ou fendues ? Et si votre toiture se trouvait endommagée à la suite d’une tempête, n’appelleriez-vous point un couvreur pour qu’il vienne la réparer au plus vite ? Eh bien, mes petits enfants, il en est de même de mon Église, dont la spécificité est de réunir en un seul Corps tous ceux qui désirent emprunter le chemin de la sainteté et qui s’engagent, aiguillonnés par mon amour et nourris de mon enseignement et de l’Eucharistie, à le suivre. Ceux qui ne veulent pas d’une vie de sainteté ou qui se permettent de désobéir aux Commandements à cause de l’élasticité de leur conscience ne doivent pas être admis au sein de mon Église avant d’avoir changé leur cœur.   

Toléreriez-vous sans sourciller que des personnes crasseuses entrent dans une piscine municipale sans s’être d’abord soigneusement douchées ? Et pensez-vous qu’un simple parti politique accepterait d’accueillir en son sein des adversaires, au risque de les voir y répandre des idées incompatibles avec les siennes et y défendre leurs propres intérêts ? Chacun doit être, mes petits, à la place qui lui échoit et au moment qui convient. Je ne suis pas venu pour accueillir les pécheurs qui désirent persévérer dans leur égarement mais pour sauver ceux qui entendent ma voix et se laissent toucher par l’amour que je leur porte et par mon enseignement. 

Or, la situation est grave à l’heure où je vous parle, car de redoutables loups se sont infiltrés jusqu’au plus haut sommet de mon Église, qu’ils veulent pouvoir diriger et transformer à leur guise. Des loups qui ne vivent pas dans la vérité et qui veulent, au nom-même de mon amour et de ma miséricorde, en ouvrir les portes aux débauchés, aux idolâtres, aux adultères, aux efféminés, aux pédérastes (cf. 1 Co 6, 10) et aux hérétiques dont les cœurs impurs n’ont aucun désir sincère de conversion, mais cherchent plutôt à rallier mes petits, ceux qui me sont fidèles, en les attirant dans les pièges d’idéologies qui, pour séduisantes qu’elles soient, proviennent du faux esprit, celui de l’Antichrist, dont l’objectif est de faire chavirer la barque de Pierre.

Des loups qui font pactiser mon Église avec des individus prétendant avoir le pouvoir de changer le monde en mettant fin à l’injustice, à l’oppression et à la pauvreté, mais qui ne sont, en vérité, que de redoutables menteurs, des despotes intransigeants et des eugénistes convaincus. C’est pourquoi je dis aujourd’hui à mes Pasteurs (1) et à mes prêtres : « Ne soyez pas naïfs car, quel que soit leur discours, ces êtres emploient la ruse pour vous entraîner dans l’erreur (cf. Ep 4, 14) ! »

Des loups qui prétendent vouloir préserver le monde de la maladie en soumettant ses populations à des « vaccins » à répétition – « vaccins » dont ils continueront à taire la létalité car ils veulent tout à la fois faire chuter la population mondiale et engraisser les laboratoires pharmaceutiques et leurs sbires – dont ils font évidemment partie – par de juteux profits. Pensant que rien ne les arrêtera et pour défier toute méfiance, ils incorporent à présent à leurs funestes projets insectes et animaux. Je vous invite à rester très vigilants sur ce point.  

Des loups, enfin qui veulent, avec l’aide d’une justice ayant elle-même son lot de corruption, modifier la foi, les dogmes de mon Église et son droit canonique pour aboutir à une grande religion universelle panthéiste et hérétique qui exercerait un contrôle permanent sur les individus, corps et âmes.

La foi catholique, mes petits, n’est pas une dictature. Elle n’est pas non plus un syncrétisme et ne saurait en rien le devenir puisqu’avec la Révélation de votre Dieu, qui a pris chair de la Vierge Marie et s’est fait Homme, elle a déjà tout reçu. Quant à mon amour et ma miséricorde, ils ne sont pas fondés sur une utopie qui consisterait à faire croire que des êtres humains indignes, malsains, corrompus et manipulateurs peuvent être accueillis au sein de mon Église et mêlés à mes brebis – j’entends : celles qui s’évertuent à me suivre – sans que celles-ci s’en trouvent souillées ou déstabilisées.

C’est pourquoi je demande à tous mes Pasteurs de veiller à me rester fidèles et à se conformer à mon Évangile, à l’enseignement et au droit de mon Église, particulièrement en matière d’éthique et de morale. Et je leur demande de faire preuve de la plus grande prudence et de se protéger contre tous les loups dont il est ici question, qui se déguisent en brebis (cf. Mt 7, 15) afin de déjouer leur vigilance pour aboutir à leurs fins sataniques.  

Ce fut déjà le cas il n’y a pas si longtemps avec les fameux « vaccins » que nombre d’évêques et de prêtres se sont fait un devoir de conseiller à leurs ouailles sans s’être assurés préalablement de leur totale innocuité auprès de vrais spécialistes, que les autorités gouvernementales corrompues se sont néanmoins acharnées à discréditer. Certains ecclésiastiques ont même outrepassé leurs droits en allant jusqu’à parler d’un manquement à la charité chez qui refuserait ces injections.

Quand comprendrez-vous enfin, mes petits enfants, que vos gouvernants ne vous veulent pas que du bien et que le lucre et la soif de pouvoir peut les entraîner très loin dans la corruption ? Que mes Pasteurs et mes prêtres cessent de hurler avec les loups sans même prendre le temps de discerner le vrai du faux, car ce type de comportement ne relève pas de la sagesse.

En ces temps de lutte contre les puissances des ténèbres, je viens vous demander encore à vous, ecclésiastiques, et à vous, laïcs, de mettre au placard votre naïveté, votre prétendu bon cœur et vos chimères si vous ne voulez pas vous faire les complices de l’inacceptable. Combien de fois ne vous a-t-on pas parlé, dans ces messages, du faux esprit et du faux amour, et pourtant, vous vous obstinez à continuer de vivre comme si de rien n’était, incrédules et même anesthésiés face aux plans machiavéliques de ceux qui vous veulent du mal.

Ressaisissez-vous, mes petits, vous qui êtes mon Église, car si vous ne vous convertissez pas, si vous ne prenez pas conscience des choses gravissimes que préparent aujourd’hui vos gouvernants en matière de santé publique, d’éthique, de morale et de liberté individuelle, vous regretterez amèrement d’ici quelque temps de ne pas avoir pris les choses au sérieux et mis tout en œuvre sur le plan électoral et sur le plan spirituel par la prière, le jeûne et l’aumône, pour éloigner de vous cette coupe redoutable !

Je vous encourage donc, Moi, le Médiateur, à adresser au Père du Ciel du fond de votre cœur toutes vos requêtes par mon intermédiaire avec l’assistance de ma douce Maman, la Bienheureuse Vierge Marie – dont mon Église fête aujourd’hui l’anniversaire – ou celle des saints que vous aimez, dans la communion des saints. Croyez que votre prière peut encore changer le cours des choses et persévérez, mes chers enfants, dans cette voie avec confiance. 

Je vous bénis.

 Jésus

(1) Comprendre : mes évêques.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.