Message du 13 février 2000





Mon fils,

Reprends ta plume après ce temps de silence où tu n’as pas mis par écrit ce que j’avais à te dire. Tu sais bien que je n’en suis pas moins présent dans ton cœur  pour t’aider à vivre ta foi sainement et à porter secours à tes frères en difficulté.

N’aie aucun doute sur la position de souplesse que tu dois adopter sur les questions qui ne concernent pas directement les données essentielles de la foi. Je dirai même : invite tes frères à faire de même. Certains, en effet, font preuve d’une rigidité dont mon amour ne se satisfait pas, mais ils n’en ont pas conscience. Aide-les petit à petit à y voir plus clair dans ce domaine. Dis-leur que, dans les temps à venir, des découvertes seront faites qui ébranleront les esprits faibles et feront se cabrer ceux qui se croient les plus forts. Pourtant, rien d’essentiel de ce que j’ai enseigné ne sera directement visé. Ne vous enfermez pas, mes enfants, dans une fausse paix construite autour de choses secondaires, qui ne peuvent être que sources de polémiques, mais au contraire, apprenez à construire votre foi sur le roc en vous nourrissant de la Parole de Dieu et veillez à défendre l’essentiel.

Dis à X. qu’il doit faire des efforts pour ne pas se laisser assaillir par un esprit d’orgueil. La vie communautaire nécessite une discipline qui exige beaucoup d’abnégation, beaucoup de renoncement et beaucoup de générosité.

Lorsque votre aide est sollicitée par l’un ou l’autre d’entre vous, mes enfants, mettez tout en œuvre  pour donner à votre frère satisfaction avec la plus grande diligence et vous ferez là votre devoir. Faites en sorte qu’il n’existe entre vous aucun ressentiment.

L’esprit mauvais aime à aveugler, à riposter, à entretenir le doute et la rancœur mais moi, je vous le dis : priez et jugez de toute situation à la lumière de mon Esprit Saint dans la plus grande humilité. Alors, je chasserai l’esprit malin et je vous donnerai la lumière pour y voir clair.

Je vous bénis.

Jésus