Message du 22 septembre 2025 (II)





CE MESSAGE EST LE SECOND MESSAGE ANNONCÉ DATÉ DE SEPTEMBRE. IL VIENT SEULEMENT D’OBTENIR L’AUTORISATION D’ÊTRE PUBLIÉ SUR LE SITE. CES DEUX MESSAGES SERONT REMIS DANS L’ORDRE CHRONOLOGIQUE À LA FIN DE L’ANNÉE.

Mes chers enfants,

L’événement médiatique qui a eu lieu aux États-Unis d’Amérique, en Arizona, en hommage à mon fils Charlie (1) – homme de foi, de vérité et de paix qui, par son charisme d’orateur, sa franchise, son courage, sa persévérance et son sacrifice, est devenu en un rien de temps un héros national – est une première mondiale. Plusieurs des intervenants qui s’y sont exprimés ont réjoui mon Cœur de Pasteur. Jamais, en effet, aucun gouvernement sur cette Terre ne s’était aventuré à parler aussi ouvertement de son Dieu. Jamais aucun gouvernement sur cette Terre n’avait cité avec autant d’à-propos les Écritures Saintes. Et jamais de telles citations n’avaient retenti aussi largement à travers l’Amérique et à travers le monde par le biais des médias. Ce fut là un excellent moyen d’évangélisation pour rappeler à tous ceux qui entendraient ces paroles que ce n’est que par moi, avec moi et en moi, Jésus, votre Seigneur, que tout pays, si hétérogène qu’il soit, peut acquérir la capacité de vivre harmonieusement dans l’unité, dans l’amour, dans le bien et dans la paix, conformément à mon Évangile.

Pourtant, des commentaires désobligeants et attaques sordides n’en ont pas moins surgi dans les médias euro-mondialistes par la voix de journalistes, d’hommes politiques, d’universitaires et de quidams aux idées déjà bien arrêtées sur le président américain, et totalement hostiles à ce qu’ils qualifient d’« amalgame entre pouvoir et religion » – ce qui, pourtant, était jadis l’apanage des rois. Car si ce grand rassemblement à la mémoire de Charlie a été vu par certains comme une bénédiction pour les États-Unis, il a été aussi qualifié par d’autres de manipulation de la part de « l’extrême droite », et même incongrument comparé, dans un média français, à des « rassemblements nazis » (2).

Pour vous, mes petits, n’entrez pas dans le jeu du faux esprit, qui œuvre à la division, mais interrogez-vous : pourquoi un tel événement a-t-il rassemblé autant de personnes issues de milieux et de races aussi divers ? Parce que ceux qui y ont participé avaient pour Charlie et pour sa parole un profond respect et une immense reconnaissance : il parlait vrai ! Par son activité oratoire, en effet, Charlie dénonçait sans détour et sans peur les erreurs civilisationnelles de votre temps, que bien des catholiques – fussent-ils hommes d’Église, et ne pensant qu’à leur image – refusent de réprouver, tels des chiens muets incapables d’aboyer (cf. Is 56, 10), craignant de choquer, et surtout de passer pour des êtres peu charitables, rétrogrades, complotistes ou même fascistes. Charlie n’accusait pourtant pas les personnes, mais il désavouait les idéologies perverses et les actes mauvais que condamnent les Commandements alors que vos sociétés les présentent aujourd’hui bien souvent comme étant dans l’ordre des choses. Il réfutait admirablement ses contradicteurs. Ses analyses étaient pertinentes, et ses craintes, lorsqu’il en débattait, bien fondées. Il était la voix qui crie dans le désert de la banalisation du mal et de la violence, de la guerre, du mensonge et de l’hérésie, au sein même d’une société libertaire, violente et apostate où, à coups de législations perverses, les jeunes – de la maternelle à l’université – et les populations se voient endoctrinés et entraînés vers de redoutables mirages.

Contrairement à ce que disaient ses adversaires, Charlie n’était ni haineux ni provocateur. C’étaient les questions qu’il abordait qui faisaient qu’il dérangeait. Il défendait simplement les valeurs chrétiennes et traitait avec brio des points de controverse auprès d’esprits déjà formatés, souvent bien naïvement, par le mal et le péché, afin de les conduire, par de solides arguments, à réfléchir en toute liberté – chose qu’il leur était précisément impossible de faire faute des connaissances nécessaires. Il ne considérait pas ses adversaires dans le dialogue comme des ennemis mais comme des âmes égarées dans le labyrinthe du monde, loin des vérités éclairantes de la foi, qui seules peuvent conduire à la paix et au salut.

Moi, qui me suis donné en rançon pour ces gens à l’esprit faussé, je vous exhorte aujourd’hui, mes petits, à prier pour eux ; à prier pour tous ces journalistes partiaux et véreux, tous ces prétendus « intellectuels » bardés de diplômes humains aux couleurs écarlates mais vides de foi, tous ces politicards pervertis par des idéologies gauchisantes, libertaires ou hérétiques qui flirtent avec l’utopie, le communisme et l’anarchie, ou sont tenus par des engagements sectaires voire sataniques ; à prier pour tous ces pécheurs calfeutrés dans le mal et figés dans une opposition systématique avec ceux qui possèdent la vérité et la proclament, et pour tous ces pervers qui se réjouissent qu’on s’en prenne à la vie de l’innocent et que le juste qu’on tue soit déclaré coupable (cf. Ps 94 [Vulg. 93]) ; à prier enfin plus particulièrement, comme y encourageait Paul sous la motion de mon Esprit, pour les chefs d’État et tous ceux qui exercent l’autorité – surtout s’ils sont corrompus et aveuglés par l’orgueil – afin que vous puissiez mener votre vie dans la tranquillité et le calme en toute piété et dignité (cf. 1 Tm 2, 1-2).

Vous pourrez cependant, mes petits, en bons catholiques que vous êtes, vous étonner des louanges que moi, votre Seigneur, j’adresse ici aux États-Unis d’Amérique, puisque la plupart des personnes dont je vous parle ne sont pas à proprement parler des membres de mon Église catholique romaine. Chez nombre d’entre elles, cependant, les semences de mon Esprit n’en accomplissent pas moins leur tâche, et, à la différence de bien d’autres – qui se gargarisent souvent de belles paroles sans jamais les faire suivre d’actes concrets – elles œuvrent magnifiquement et courageusement au nom de mon Évangile et contre le Mal. Certaines de ces personnes sont même en passe de rejoindre mon Église catholique. Ne les jugez pas négativement, mes enfants, alors qu’elles agissent en mon nom. Rappelez-vous, à cet égard, ce que j’ai répondu à mon Apôtre Jean lorsqu’il est venu me dire fièrement qu’il s’était opposé à quelqu’un qui expulsait les démons sans que je lui en eusse donné pouvoir et autorité : « Ne l’en empêchez pas : qui n’est pas contre vous est pour vous » (cf. Lc 9, 49-50). En vérité, il y a eu et il y aura encore en Amérique, dans le sillage de cet événement médiatique, quantité de passages de l’incroyance à la foi chrétienne, et quantité de conversions au catholicisme, ainsi qu’un amour de plus en plus sincère envers ma sainte Mère – Médiatrice du salut et victorieuse des hérésies – et son Cœur Immaculé.

Charlie, à travers son charisme, sa bonté, sa grandeur d’âme, sa sincérité, sa conversion personnelle, la pureté de sa foi, son amour pour ma Mère et son exceptionnel dévouement, et malgré ses faiblesses et ses  imperfections, aura contribué à lui seul à toucher en profondeur le cœur de l’Amérique tout entière pour donner à ce pays une impulsion spirituelle jusque-là inégalée, et le faire entrer dans une dynamique de réformes en faveur de la vie, de la santé, de la justice, de la famille, de l’amour et de la paix.

Priez, mes petits enfants, pour que cette nouvelle Amérique, placée aujourd’hui sous l’abri du Très-Haut, repose durablement à l’ombre du Puissant (cf. Ps 91 [Vulg. 90], 1),et qu’elle se blottisse sous le manteau de ma bienheureuse Mère. Que par l’action même de son actuel gouvernement, ce pays soit libéré des multiples déviances de ses anciens dirigeants, qui prônaient résolument un libéralisme outrancier, la suprématie du lobby pharmaceutique et de la « malbouffe », le wokisme, le transgenrisme, les déviations sexuelles, l’avortement, le suicide assisté, la corruption et même la guerre.

Il fallait à cette Amérique un président qui, malgré ses faiblesses, son extravagance et ses fautes passées, essayât aujourd’hui, assisté de mon Esprit et conseillé par de belles âmes, d’en reprendre énergiquement les rênes, de retourner sur ses ennemis leur méfait et de les réduire au silence (cf. Ps 94 [Vulg. 93], 23), de protéger son pays de la corruption, du trafic de stupéfiants et du trafic d’enfants en sécurisant ses frontières, et de le délivrer de l’emprise diabolique et de la ruse de l’oligarchie mondialiste qui l’eût inéluctablement conduit à l’esclavage, à l’apostasie et à la mort.

Pourtant, des entraves persistent qui ne sont pas des moindres sur le plan international et font que, pour des raisons principalement politiques, historiques, économiques, militaires, diplomatiques mais et aussi eschatologiques, le président des États-Unis n’a pas toujours les mains libres pour accomplir ses desseins. Il en est ainsi, par exemple, de ses relations avec le gouvernement d’Israël – question primordiale soulevée par Charlie avant qu’il ne fût réduit au silence. Ce dernier, fervent partisan de la vraie liberté, de la paix et du respect de la personne humaine et des peuples au nom de l’Évangile, avait, en effet, décidé de ne plus soutenir les intérêts de ceux qui se sont donnés pour mission de hâter l’Harmaguédon (3). Refusant de les suivre dans leur idéologie sectaire et meurtrière, il souhaitait vivement que cessassent la corruption, le chantage, la violence, les conflits et les attentats, et que les guerres – encouragées souterrainement par ceux-là mêmes dont l’objectif n’est, depuis déjà plus d’un siècle, que de servir leur propres intérêts – s’arrêtent définitivement.

Que l’invitation au dialogue dans la vérité et en toute transparence que prônait Charlie contribue, à la lumière des dossiers aujourd’hui déclassifiés par l’Amérique et connus de son président, à apporter au monde une véritable paix. C’est dans ce but que j’encourage le président des États-Unis à poursuivre vaillamment et courageusement sa tâche d’ambassadeur de la paix sous la motion de mon Esprit, en s’efforçant, au mépris des critiques et même des menaces, d’être toujours fidèle à mon enseignement, fidèle à sa parole, et de ne pas s’éloigner d’une juste voie dont il est si facile de dévier. S’il me sert ainsi, moi, son Seigneur, ma sainte Mère et les anges du Ciel l’accompagneront et le garderont sur tous ses chemins (cf. Ps 91 [Vulg. 90], 11), mais il devra faire preuve d’une extrême prudence dans les rassemblements et dans ses déplacements car les forces du Mal, mobilisées par ses adversaires, sont d’ores et déjà à l’œuvre pour l’empêcher d’agir et faire capoter ses actions.

Que l’Europe – et particulièrement la France – si pervertie par l’engeance mondialiste aujourd’hui bannie d’Amérique et aussi de Russie, se laisse transformer à l’image de cette grande nation, où je suis à présent officiellement accueilli et reçu en tant que Fils du Dieu vivant, et où les Écritures Saintes et mon Évangile deviennent une référence certaine dans la sphère politique. En réponse aux prières du président des États-Unis et de son administration, je continuerai d’envoyer sur eux mon Esprit pour les éclairer dans leur gouvernance, cependant qu’ils resteront toujours libres de me suivre ou libres de s’égarer et de se perdre. C’est là le lot de tout individu. Pour vous, mes petits, aidez-les quotidiennement de vos prières fidèles afin que, malgré les inévitables maladresses qu’ils commettront et les décisions malencontreuses ou peu judicieuses qu’il leur arrivera de prendre, ces hommes et ces femmes soient des modèles pour l’Europe et pour la France, et que les projets des euro-mondialistes soient anéantis pour le plus grand bien de tous.  

Les temps sont durs, mes enfants, et les combats qui aujourd’hui sont livrés sur la scène internationale sont d’une importance capitale pour l’avenir du monde. Les forces du Mal y sont directement à l’œuvre, particulièrement en France – ce pays qui, pourtant, m’est si cher et qui est si cher à ma sainte Mère, mais qui m’a, pour son plus grand malheur, abandonné et trahi. Le Diable s’y déchaîne à travers des gouvernants pervers et instables, complices de tous les mensonges, de toutes les déviances, de toutes les bassesses, de toutes les malhonnêtetés, de toutes les tromperies, de toutes les trahisons et de tous les crimes ; des gouvernants qui détruisent cette belle nation et pervertissent l’esprit de mes brebis, les rendant irrespectueuses ou indifférentes envers leur Seigneur et son Église, et les incitant à la débauche et au meurtre (avortement, euthanasie, drogue, etc.) ; des gouvernants qui transforment mes brebis en des pantins stupides et insouciants au point qu’elles ne se rendent même plus compte de qui sont leurs véritables ennemis – ceux qui désirent les conduire à un destin funeste :

« Rien n’est vrai dans leur bouche,
ils sont remplis de malveillance ;
leur gosier est un sépulcre béant,
et leur langue, un piège. » (Ps 6 [Vulg. 5], 10)

Je le dis à nouveau à mes enfants de France : votre président et ses sbires vous mentent pour provoquer la guerre et parvenir à construire une Europe fédérale. En vérité, la Russie n’est pas votre ennemie et, comme en témoigne l’Histoire, ne l’a jamais été, et les menaces belliqueuses dont elle est aujourd’hui accusée n’ont aucun fondement. « Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage », dites-vous, et c’est bien là que le bât blesse…

Priez donc, mes chers enfants, pour que, à l’exemple des États-Unis d’Amérique d’aujourd’hui, vos gouvernants et futurs gouvernants se convertissent, et que règne la paix en France, en Europe et dans toutes les nations.  

Je vous bénis, mes petits.

Jésus

(1) Charles James Kirk – dit « Charlie » – était une personnalité médiatique américaine majeure, militant politique, influenceur, conservateur et nationaliste chrétien, cofondateur de l’organisation étudiante Turning Point USA en 2012, classé à l’extrême droite par plusieurs politiques et médias français. Il est mort assassiné dans sa trente-deuxième année le 10 septembre 2025 lors d’un meeting en plein air sur le campus de l’université d’Utah Valley à Orem dans l’Utah aux USA. L’office commémoratif de Charlie, qui a eu lieu le 21 septembre 2025 au State Farm Stadium de Glendale, en Arizona, en présence de l’ensemble de l’administration Trump, a réuni une centaine de milliers de personnes.

(2) Au moment de commenter les images des funérailles de Charlie Kirk lors de l’émission C politique sur France 5, la journaliste et écrivain française Judith Perrignon déclare : « J’ai pensé à ces rassemblements nazis qu’il y avait aux États-Unis dans les années 30. Il y avait de grands rassemblements. » Et elle ajoute : « Franklin Roosevelt était très conscient que le nazisme était aussi aux États-Unis. Il n’arrêtait pas de le dire. » (cf. valeursactuelles.com, publié le 22 septembre 2025 à 19h04)

(3) Pour les religions issues de La Bible, Harmaguédon (ou « montagne de Meguiddo », i.e. emplacement de troupes) (cf. Ap 16, 16), est le lieu central où l’Antéchrist rassemblera ses armées pour s’opposer au retour de Jésus-Christ, appelé « parousie » du Seigneur – lieu du combat final entre le Bien et le Mal à la fin du monde.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.