Message du 25 mars 2022





Frères bien aimés,

Moi, Paul, je vous dis de nouveau, à la suite du Seigneur Jésus-Christ, que seule la vérité peut vous rendre libres (cf. Jn 8, 31-32). Or, depuis de nombreux mois, tous ceux qui parmi vous dans ce pays font régulièrement usage des médias grand public – presse, radio ou télévision – se voient assaillis par des montagnes de fausses informations qui sont, pour la plupart, pilotées par vos gouvernants et leurs sbires. Ces informations sont la voix du « politiquement correct » et de la pensée unique, que vous êtes censés embrasser pour être de « bons » citoyens sous peine de vous voir relégués au rang de parias et d’être regardés avec suspicion. C’est pourquoi je vous encourage, frères, à ne pas être comme ces bêtes de somme à qui l’on a posé des œillères pour les empêcher de voir sur les côtés, et à faire preuve d’un juste discernement.

En tant qu’êtres humains dotés d’une intelligence – je dis bien : dotés d’une intelligence ! – comment pouvez-vous encore faire confiance à des personnes qui cherchent délibérément à vous asservir, à faire de vous leurs pantins et, en fait, à vous nuire en portant atteinte non seulement à votre santé physique et psychique mais aussi à toutes les valeurs que vous devez défendre au nom du Seigneur Jésus-Christ ? Comment pouvez-vous avoir la naïveté de croire tout ce que l’on vous raconte ?

Rendez-vous plutôt à l’évidence, frères, et démasquez le faux esprit où qu’il se trouve – en l’occurrence, derrière la séduction des propos mensongers et faussement protecteurs de nombre de vos dirigeants dont le but, aujourd’hui, n’est autre que de détruire l’être humain sexué, la famille, la société traditionnelle, l’Église et les valeurs chrétiennes sous l’emprise des forces du Mal, celles du Démon.

La politique sanitaire de ce pays – comme de bien d’autres d’ailleurs – n’a été, depuis l’arrivée du fameux « virus », que mensonges, approximations et contradictions. Vous avez été confinés et muselés de force pendant des mois, souvent sous l’emprise de la peur, et certains d’entre vous portent même encore des masques alors qu’ils n’en ont plus l’obligation ; c’est dire combien ils ont été manipulés ! Malgré les mises en garde on ne peut plus claires émanant d’éminents scientifiques et diffusées sur Internet, que ces messages vous ont toujours invités à suivre, nombre d’entre vous se sont néanmoins laissé « vacciner » et revacciner, tester et retester comme des moutons menés à la boucherie (cf. Rm 8, 36), avec tous les dangers que cela présageait d’entraîner sur leur santé et celle de leurs futurs enfants. Paradoxalement, certains y ont perdu la vie en voulant au contraire la conserver en recourant à ces injections toxiques.

Bien que les premiers bilans de ces prétendus « vaccins » soient en train de se révéler indéniablement catastrophiques, comme ces messages vous l’ont prédit – et ce n’est là, croyez-moi, qu’un commencement -, nombre de gouvernants ne montrent toujours aucune hésitation à inciter toutes les catégories de population à se faire injecter ces substances inefficaces et vénéneuses pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques impliqués – et aussi pour le leur – au détriment de la santé de leurs citoyens. La situation reste donc gravissime.

Ne soyez pas dupes, frères bien aimés, ne soyez pas pleutres, et défendez vos libertés ! Liberté de soins mais aussi liberté d’expression et liberté de culte. Ne laissez pas vos démocraties partir en vrille et se transformer peu à peu en dictatures larvées puis en totalitarismes pervers.

Il en est de même pour les pays qui aujourd’hui sont en conflit. Les informations que diffusent vos médias grand public en Europe sont, une fois de plus, biaisées, et vous n’y voyez que du feu ! Non seulement vous vous faites manipuler, mais vos émotions nuisent aussi à votre discernement. Ayez donc la curiosité, à l’ère d’Internet, de rechercher des informations sérieuses et fiables communiquées, là encore, par de vrais spécialistes – personnes vivant, pour certaines, dans les pays concernés – au lieu de prendre d’emblée, dans un élan émotionnel et sans le moindre discernement, fait et cause pour les uns ou les autres sans rien connaître des dessous de la situation, et priez pour la paix.

Je ne viens pas, frères, vous imposer ici des idées ni même des solutions car Notre-Seigneur tient absolument à ce que vous conserviez votre liberté. Cependant, Celui-ci m’envoie pour vous éclairer et vous mettre en garde contre toutes les déviations et toutes les dérives qui viennent aujourd’hui bouleverser votre monde. Ces solutions, il revient à vous et à vous seuls de les découvrir. Je vous dirai simplement que si vous parvenez à faire bon usage de votre intelligence – celle-là même dont Dieu vous a dotés – pour exploiter judicieusement Internet, vous y découvrirez sans tarder nombre d’informations des plus sérieuses qui sont à mille lieues de la pensée unique imposée par la majorité des médias, inféodés au pouvoir politique.

Laissez-moi vous dire aussi que je suis consterné par la manière dont ces mêmes médias traitent de la campagne électorale dans ce pays, la France, qui se disait le parangon de la liberté, en insinuant le doute dans l’esprit et le cœur des citoyens dès que les propos d’un candidat ne vont pas dans le sens de la pensée unique et de l’incontournable « politiquement correct ».

Bien sûr, ce n’est pas à moi, Paul, de vous dire à qui accorder votre suffrage car un vote doit rester une conviction et une décision personnelle prise après mure réflexion. Je peux néanmoins vous conseiller de réfléchir à la question suivante : « Quel est le candidat dont les propositions et les engagements correspondent le plus à la doctrine sociale et à l’enseignement de l’Église catholique ? »

Bien sûr, nul candidat ne peut être tout blanc ou tout noir ni correspondre totalement à vos aspirations, mais il convient d’analyser sagement les propos de chacun et de les confronter avec l’enseignement du Seigneur Jésus-Christ et avec votre foi, votre espérance et votre charité, avant de vous engager, chacun, en toute conscience. Un vote n’est donc pas une décision prise à la légère ou résultant d’une attirance envers tel ou tel candidat jugé simplement sur la mine. Et je vous rappelle aussi, frères, qu’il est de votre devoir de bons citoyens et de bons chrétiens d’aller voter coûte que coûte.

Parce que beaucoup d’entre vous ont prié, des scandales sont en train d’éclater, des vérités en train d’être dévoilées, mais saurez-vous en tirer les leçons qu’il convient et agir en conséquence ? Saurez-vous ne point laisser votre naïveté, vos émotions ou vos œillères de bêtes de somme vous pousser à un vote peu judicieux ou même dangereux pour vous-mêmes, pour vos enfants, pour vos familles, pour l’avenir de votre pays et même celui de l’humanité tout entière ? Saurez-vous rester impartiaux face aux sondages souvent pipés des médias grand public, dont même une certaine presse qui se veut catholique se fait elle aussi l’écho ? Je sais combien tout cela peut être perturbant, surtout pour ceux d’entre vous qui, à cause de leur grand âge ou pour d’autres raisons, ne naviguent point sur Internet et n’ont aucune autre source d’information que ces mêmes médias – particulièrement la télévision. C’est pourquoi je demande à tous ceux qui auront accès à ce message de le faire connaître autour d’eux largement et sans tarder.

L’heure est grave, frères aimés ! Le fameux « vaccin », les manipulations génétiques, l’eugénisme, les chimères, les lois iniques et intolérables sur l’avortement et l’euthanasie passées en catimini, la théorie du genre, la pensée unique, le « politiquement correct », la perversion des mœurs et de l’enseignement, la corruption des enfants, la dénaturation de l’intelligence, le marquage des êtres humains par leurs gouvernements afin de les mieux contrôler, la fraude électorale, l’asservissement progressif de l’Église au pouvoir politique, etc., tout cela fait partie d’un plan machiavélique élaboré par de prétendues « élites » richissimes, des oligarques qui veulent orgueilleusement prendre la place de Dieu et contrôler le monde et sa population. C’est précisément contre cette menace que vous devez, frères bien aimés, vous défendre et défendre votre beau pays et votre bel héritage avec acharnement pour préserver votre liberté d’enfants de Dieu et l’éthique d’une démocratie digne de ce nom.

En cette fête de la Mère de Dieu, la Bienheureuse Vierge Marie, que je vous invite à honorer et à prier fidèlement, je continue, moi, Paul, Apôtre du Christ Jésus, de veiller sur vous tous, et vous bénis.

+ Paul, Apôtre de Jésus-Christ

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.