Message du 27 octobre 2004





(de P., qui vient de quitter cette Terre)

P. se montre à moi sur une belle pelouse verte, en costume, la veste ouverte, une bonne touffe de cheveux coiffés en arrière, et des vêtements agités comme par une douce brise. Je le vois comme s’il se trouvait sur un plan incliné, comme s’il faisait voler un cerf-volant dans le vent. Il sourit de toutes ses dents, la bouche largement ouverte. Il a l’air tout à fait heureux.

Bonsoir mon jeune ami, c’est P.

H. m’a dit, avant que je parte, que je pourrais venir te voir. Je suis un peu sonné, mais dis à M. que tout va bien.

J’ai été accueilli par mes parents et ma grand-mère, et la lumière de notre bonne Mère, que j’ai priée jusqu’à la fin, est pour moi une présence rassurante.

Je suis dans une merveilleuse musique. Je ne souffre plus. Plus de lunettes !

Merci M. pour tout ce que tu as fait pour ton « épouks » ! Je vais veiller sur toi et sur les enfants à plein temps maintenant. Sois rassurée parce que je vais bien. On continue vraiment de vivre, tu sais ! Le Seigneur tient ses promesses, lui. Certains prêtres, pas toujours !…

Merci à H. pour sa visite. Merci à tous ceux qui sont venus ou ont prié pour moi.

Je suis libéré de ce calvaire, alléluia ! Merci mon Dieu !