Message du 28 février 2004
Mon fils,
Pourquoi crains-tu de noter mes paroles ? Sois en paix, mon enfant, la tourmente est passée. Continue de prier et garde confiance. N’écoute pas ceux qui sèment le doute dans ton esprit. J’ai toujours parlé au fond de ton cœur et je continuerai de le faire. Écoute-moi.
Tu es loin d’être parfait, mon enfant, mais, je te l’ai déjà dit, ton cœur est bon. Poursuis ton travail intérieur, poursuis tes recherches sur les profondeurs de l’être humain et loue le Père du Ciel pour toutes les merveilles que tu découvres. Je sais ton humilité par rapport à ces recherches. Conserve-la, et ne te laisse pas déstabiliser par les remarques des uns ou des autres. Qu’elles enrichissent ta foi et te conduisent à une plus grande compréhension de toi-même et de tes frères.
La souffrance est entrée dans le monde par le Péché de l’homme. Sous quelque forme qu’elle se présente, elle a, la plupart du temps, pour origine un manque d’amour. N’oubliez jamais, toi et ton frère spirituel, que chaque manque d’amour peut engendrer de la souffrance. Je vous ai demandé à tous les deux de méditer les passages de Paul sur la charité. Vous ne l’avez pas encore fait. Il n’est pas trop tard, mes enfants…
Que cela vous encourage à pratiquer cette vertu de la manière la plus spontanée et la plus authentique possible. Qu’il n’y ait entre vous ni discorde ni paroles acerbes. Qu’il n’y ait pas non plus d’énervement ni de froideur mais, au contraire, une profonde amitié, une mutuelle affection fraternelle et une réelle unité dans la foi. Telles sont les conditions indispensables à une véritable entente communautaire. Votre projet de vie commune ne pourra se réaliser concrètement, mes enfants, que si chacun se fait attentif à l’autre dans la plus grande charité et dans un esprit de dialogue et de partage.
Mais n’oubliez pas que je suis avec vous et que j’entends bien vous voir mener les choses dans l’ordre et en temps voulu. C’est ainsi que je vous ai toujours recommandé la patience, la persévérance et l’espérance. Ne vous découragez pas : tout vient à point à qui sait attendre.
Je vous bénis.
Jésus