Message du 30 septembre 2024





Bien chers frères,

« Il était une fois un jeune agneau qui, bien que cela lui fût interdit, aimait à s’aventurer au-delà des limites du territoire où broutait le troupeau. Un beau jour, il y rencontra un petit loup qui lui sembla fort sympathique. Une amitié entre eux se noua, et ils se retrouvaient en secret pour refaire ensemble le monde…

Les parents du jeune agneau l’avaient bien des fois mis en garde contre les loups, qui, disaient-ils, étaient des animaux rusés, violents et voraces, mais le jeune agneau ne l’entendait pas de cette oreille : plus il échangeait avec son nouvel ami et plus il oubliait les mises en garde de ses parents. À les en croire, les loups avaient plusieurs fois attaqué le troupeau et enlevé de jeunes agneaux comme lui pour les emporter dans les bois et ensuite les dévorer. C’est pourquoi, afin de protéger le troupeau, la sécurité avait été renforcée par de nouveaux chiens de bergers. Cependant, le jeune agneau ne pouvait pas imaginer un seul instant que les loups pussent être méchants. D’ailleurs, pourquoi son ami le louveteau lui voudrait-il du mal ? Il lui paraissait si pacifique, si intelligent, si inoffensif, si attentionné. Non, décidément, les autres loups ne pouvaient pas être différents de lui !…

En réalité, le louveteau était un fourbe : après avoir gagné l’amitié du jeune agneau, il commença à le questionner sournoisement sur tout ce qui concernait le troupeau et l’agneau n’y vit que du feu. Formé par les anciens de la meute, ce loup avait pour mission de gagner la confiance des agneaux imprudents afin de leur soutirer tous les renseignements nécessaires à un assaut réussi du troupeau.

Quelque temps plus tard, les moutons furent attaqués par les loups et nombre d’agneaux furent ravis à leurs parents. Le nôtre n’y échappa point : il finit, comme tous les autres, égorgé sous le regard indifférent du louveteau, qui, réjoui d’avoir mené à bonne fin sa mission, se délecta aussi de sa chair. On raconte qu’avant de passer de vie à trépas, le jeune agneau n’avait toujours établi aucun lien entre ce malheureux carnage et sa naïve imprudence, et qu’il aimait encore le petit loup de tout son cœur. »   

Que celui qui a une intelligence spirituelle comprenne !

Bien évidemment, nous vous exhortons, chers frères, à ne pas vous laisser abuser par les paroles trompeuses de ceux qui prétendent vous vouloir du bien mais qui sont, en réalité, vos pires ennemis. Dans toutes les informations que diffusent vos médias et trouvées sur Internet, apprenez à discerner le vrai du faux, car c’est le faux qui, aujourd’hui, domine et défraie la chronique quasi sans contradiction : « politiquement correct » exige ! Ayez la sagesse d’aller dénicher toutes les vérités que la censure met sous le boisseau pour que la doxa gouvernementale ne soit point contredite. Ne vous laissez pas non plus abuser par les lois liberticides et les mesures peu judicieuses que prennent vos dirigeants, sans grande transparence et dans tous les domaines : politique nationale et internationale, défense, sécurité, faits sociaux, propriété privée, économie, monnaie, industrie, agriculture, science, génétique, médecine, éducation de vos enfants, psychologie, identité sexuée, relations humaines, technologies de pointe, informatique, communication, écologie, météorologie, sismologie, mais également en ce qui concerne la vie et la mort, l’éthique et la morale, la foi et la religion.

Aussi, au lieu de vous laisser effrayer par les prophéties apocalyptiques qui parlent de l’imminence d’une guerre nucléaire et recommandent à qui veut bien l’entendre de faire des provisions et d’aller se protéger dans des refuges, écoutez plutôt nos mises en garde contre l’action menée depuis longtemps déjà par les oligarques du « mondialisme » et leurs sbires, que nous avons surnommés « les méchants » dans ces messages.

Vous, journalistes de ces temps de trouble, qui devriez être en priorité les honnêtes défenseurs de la vérité, que ne cessez-vous de vous faire les « toutous » du pouvoir et de hurler avec les loups ? Ayez plutôt le courage de braver la censure et de contredire la doxa en dénonçant, preuves à l’appui, ceux qui, dans leurs délires obsessionnels de puissance, veulent transformer les êtres humains en fantoches et gommer l’identité des pays pour les affaiblir, les priver de leur autonomie, de leurs us et coutumes, et, à terme, les assujettir à un gouvernement totalitaire mondial ! Nous remercions vivement ceux d’entre vous – malheureusement encore trop peu nombreux – qui défient la censure pour monter au filet avec bravoure. Qu’ils soient bénis et poursuivent leur action ! Car le seul moyen d’affaiblir les mondialistes est de dénoncer haut et fort leurs agissements pervers et leurs magouilles perfides, qu’ils accomplissent au grand jour en dépit même des lois existantes, et, qui plus est, en toute impunité ! C’est vous dire combien les populations, encore victimes de la gestion aberrante de la fameuse « crise sanitaire », sont, aujourd’hui encore, anesthésiées…

Ceux qui sont à la tête de ce mouvement universaliste, chers frères, se prennent véritablement pour des dieux et, bénéficiant du soutien de puissants alliés partout dans le monde, ils entendent bien s’arroger tous les pouvoirs en contournant subtilement la plupart des processus démocratiques. Sous le prétexte fallacieux de vouloir protéger et aider l’humanité, ils prétendent faire preuve de prudence en anticipant crises et catastrophes, mais ce sont eux-mêmes qui, souvent, les fabriquent et les déclenchent pour se poser ensuite en sauveurs et recueillir l’approbation de tous ! Ne se sont-ils point déjà employés à tester à grande échelle le degré de soumission des populations lors de la « crise » mentionnée plus avant, créée par eux de toutes pièces à grands renforts de mensonges, et à laquelle nombre d’entre vous ont malheureusement mordu ?

Semant terreur, déstabilisation et sidération en trichant sur la létalité d’un « virus » qui n’a pas fait plus de morts qu’une grippe saisonnière – alors que chaque jour les médias égrenaient mensongèrement un nombre impressionnant de victimes -, ils ont pu d’autant mieux réussir à imposer leur loi : confinements, port de masques, surveillance systématique et répressive, intrusions dans la vie privée, gardes à vue, et, pour couronner le tout, mise en place de leur prétendue panacée : la « vaccination », programmée pour faire les choux gras de l’industrie pharmaceutique et de ses complices, mais dont les dramatiques retombées continuent, pour votre plus grand malheur, à répandre dans le monde entier ses ravages. Malgré cela et contrairement aux mesures de prudence déjà décrétées dans d’autres pays, le gouvernement français garde le silence et poursuit sans aucun scrupule ses campagnes de « vaccinations »…

Si vous continuez, chers frères, à vous laisser ainsi duper par vos gouvernants avec la naïveté du petit agneau de la parabole, ce qui n’était auparavant que de sombres scénarios sortis de romans de science-fiction finira par devenir réalité, et, comme lui, vous vous ferez dévorer tout cru ! Pourquoi ? Parce que les « méchants » veulent détruire l’humanité telle que Dieu l’a conçue, et refaire un nouvel homme à leur manière en le transformant en un vulgaire robot qui leur soit asservi. Pour cela, ils n’hésitent point à user, sans états d’âme, de mensonges, de subterfuges, de corruption et de violence. Ce sont, frères, des antichrists envoyés par Satan lui-même, qui, dans sa jalousie féroce envers l’homme et sa haine envers le Créateur – toutes deux attisées par l’Incarnation du Verbe de Dieu, venu sauver l’humanité captive du péché – s’acharne, en ces temps qui sont les derniers (cf. He 1, 2), à détruire la Création et à priver l’homme, créature de prédilection du Père, de sa liberté d’enfant de Dieu.

Nous espérons que ces messages, qui sont la voix de l’Esprit Saint, seront entendus de vous, et nous vous encourageons à les diffuser massivement.

Parallèlement à celui-ci, nous vous invitons, chers frères, à lire ou à relire la toute première parabole que nous avons inspirée à notre messager : celle des Abeilles, qui vous mettait, dès 1981, en garde contre la dégradation progressive de vos sociétés infiltrées par le Mal et le péché, et contre la paresse et le manque de courage des populations qui y seraient confrontées (1). Cette parabole invitait déjà chacun d’entre vous à se tourner vers Dieu en choisissant la lumière plutôt que les ténèbres, l’harmonie plutôt que désordre, et l’unité plutôt que la division. Elle pourrait, quelque quarante années plus tard, se voir judicieusement complétée par un nouvel élément : l’apparition, en Europe, du frelon asiatique, qui vient aujourd’hui menacer directement les ruches et leurs vaillantes ouvrières.

Arrivés en France en 2004, ces redoutables insectes ont, depuis, par leur action destructrice, provoqué le déclin catastrophique de nombreuses colonies d’abeilles, que les apiculteurs ont encore beaucoup de mal à sauver. Pourtant, l’utilisation de la poule de bassecour, très friande de ces réservoirs de protéines, se révèle aujourd’hui singulièrement efficace lorsqu’elle est placée aux abords des ruches pour neutraliser l’ennemi.

Les « mondialistes », chers frères, sont comme ces frelons : ils s’attaquent impitoyablement à vos sociétés et à vos personnes. Certes, ils vous promettent monts et merveilles en se targuant d’être des parangons de la liberté, de la tolérance et de la modernité ; leurs programmes peuvent sembler alléchants à qui rêve d’un monde fraternel, sans frontières ni classes sociales, mais tout cela n’est, en vérité, qu’une diabolique utopie inspirée du communisme, et une machiavélique supercherie destinée à détruire tous vos repères – vos pays, vos frontières, vos armées, vos sociétés, votre identité sexuelle masculine ou féminine comme réalité biologique, vos familles, votre morale, votre foi, et jusqu’à votre vie elle-même – pour mieux vous soumettre à leur despotisme.

S’ils prônent l’égalité entre tous les êtres humains et la redistribution des richesses, ils veulent y parvenir en dépouillant les classes moyennes de leurs biens personnels, tout en comptant conserver eux-mêmes leur fortune, acquise, la plupart du temps, par le biais de malversations, et qu’ils prennent bien soin de sauvegarder dans des paradis fiscaux sans jamais en être inquiétés.

S’ils veulent réduire les populations, c’est par le biais d’une infernale régulation eugénique des naissances et des décès avec la complicité de grands laboratoires pharmaceutiques, de politiciens, de hauts fonctionnaires, d’économistes, de médecins, de scientifiques, de militaires, d’enseignants, d’informaticiens de haut niveau, etc., qui exécutent leurs ordres. Ce sont des meurtriers de la pire espèce, capables de lâcher dans la nature de dangereux virus, et dans l’atmosphère des poisons non moins nocifs, mais également de provoquer de graves perturbations climatiques, des inondations, des éruptions volcaniques, des tremblements de terre, des tsunamis et bien d’autres bouleversements encore s’ils les jugent nécessaires à la réalisation de leur monstrueux projet.

Mais cela n’est pas tout ! Car ils veulent aussi détruire l’homme en tant que créature de Dieu en sapant totalement sa conscience et sa foi. C’est pourquoi ils s’ingénient à discréditer la morale traditionnelle au profit d’une forme de tolérance où le laxisme, la pornographie, le libertinage, l’homosexualité et le transgenrisme sont de mise, et à évoquer avec délectation l’idée d’une religion universelle – mélange hétéroclite tout autant qu’hérétique de différentes sensibilités religieuses – pour mieux démanteler et réduire à néant l’Église catholique romaine, son clergé, son enseignement et ses sacrements, et reléguer le Christ Jésus, Fils du Très Haut, au même rang qu’un Mahomet, un Bouddha ou quelque avatar de divinité hindoue.

Vous devez, chers frères, mettre tout en œuvre pour défendre cette Église et la foi catholique, car ce projet cultuel d’une fraternité universelle n’est qu’un dangereux syncrétisme soutenu jusqu’au plus haut niveau de cette institution par des ecclésiastiques eux-mêmes, ennemis des dogmes, de la morale et de la Tradition, et chargés de la détruire de l’intérieur.   

Alors, priez, chers frères, priez de tout votre cœur et prenez le temps de vérifier, par des recherches appropriées sur Internet, la véracité des faits que nous vous révélons. Apprenez à identifier les véritables dangers et les véritables menaces au lieu de laisser la plupart des médias grand public, inféodés à vos politiques, vous laver le cerveau avec leurs idéologies prémâchées afin que vous n’ayez aucun mal à les digérer. Et retenez bien ceci : les « méchants » ne sont pas toujours ceux qui sont présentés comme tels dans la bien-pensance – nous vous l’avons déjà dit plusieurs fois. Ne tardez pas, amis, à le découvrir par vous-mêmes !

Priez afin que les projets des mondialistes se voient démantelés et que vos libertés soient préservées partout et dans tous les domaines. Priez pour que nombre de gallinacés courageux se lèvent près de vos ruches afin de neutraliser les frelons qui les menacent. Priez pour les hauts dignitaires de l’Église et les ecclésiastiques qui se sont imprudemment laissé envoûter par l’utopie mondialiste – dont il est juste de dire qu’elle s’est agrégée l’idéologie politique marxiste et la théologie de la libération précédemment dénoncée par notre bien-aimé Jean-Paul II lorsqu’il était sur cette Terre.

Priez pour que cessent toutes les déviances éthiques et morales issues du mondialisme, et pour que l’Église du Christ Jésus, une, sainte, catholique et apostolique, illumine de nouveau le monde de sa clarté et de la véracité de son enseignement. Demandez pour cela l’intercession de la Bienheureuse Vierge Marie et de tous vos amis des Demeures Célestes – dont nous sommes – afin que Ciel et Terre s’associent activement, dans la communion des saints, pour toucher le cœur de Dieu et court-circuiter l’action du Mauvais. 

En outre, que tout ce que vous dites et tout ce que vous faites soit toujours accompli par amour au nom du Seigneur Jésus-Christ, en offrant par lui votre action de grâce à Dieu le Père (cf. Col 3, 17). Celui-ci accueillera alors plus favorablement encore vos suppliques pour faire échouer les projets des méchants.

Que Notre-Seigneur et sa sainte Mère vous bénissent et vous gardent.

+ Vos frères dans la Vérité

(1) V. Message d’introduction de Vos frères du Ciel, 1981, Un Souffle qui passe…, Tome 1.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.