Message du 28 mars 2025
Mes chers enfants,
Lorsque vous avez des déboires, vous vous dites parfois : « Qu’ai-je fait à Dieu pour mériter cela ? », et vous croyez que le Père du Ciel en serait l’instigateur pour vous punir de quelque action mauvaise. Et quand vous entendez parler d’un accident de la route qui a coûté la vie à une ou plusieurs personnes, vous avez du mal à comprendre que votre Dieu puisse laisser se produire de telles « atrocités » – surtout lorsque de jeunes conducteurs se trouvent impliqués – et, une fois encore, vous n’hésitez pas à l’en tenir pour responsable.
Évitez, mes petits, de verser dans la superstition ou la paranoïa, et reconnaissez humblement qu’à l’exception de ce que vous appelez « les impondérables » ou les catastrophes naturelles, tout ce qui peut vous arriver de fâcheux résulte de près ou de loin d’une erreur ou d’une défaillance humaine. Et puisque vous trouvez louable que Dieu laisse les hommes libres de leurs comportements et de leurs choix (cf. Si 15, 14), reconnaissez également que cette même liberté puisse les conduire au bien mais aussi au mal, à la vérité mais aussi à l’erreur, à la gloire du Ciel mais aussi à la damnation. Donc, si vous tenez pour vrai que les accidents de la route sont presque toujours causés directement ou indirectement par une défaillance humaine, vous n’aurez aucun mal à admettre que votre Père du Ciel n’y soit absolument pour rien.
Au cours de mon enseignement sur cette Terre, il m’est arrivé de faire référence à la chute de la tour de Siloé et aux morts qu’elle a causés (cf. Lc 13, 4-5) afin que les foules comprennent, comme vous aujourd’hui, que ces personnes se sont simplement trouvées là au mauvais moment ; comprennent aussi qu’à l’origine de cette catastrophe, il y avait une défaillance humaine et non un châtiment que le Père du Ciel aurait infligé à ces dix-huit victimes à cause de leurs péchés.
Pourtant, vous vous dites encore : « Si Dieu peut tout, il aurait quand même pu intervenir pour que cet incident se produise à un autre moment, et il n’y aurait pas eu de victime ! » Et moi, je vous réponds : si cet incident s’était produit à un autre moment, le nombre de morts aurait peut-être été encore plus important !
La loi de cause à effet, mes petits, est un principe terrestre inaliénable, et si le Père du Ciel permet qu’elle entraîne des personnes dans la mort, vous ne devez point l’en blâmer car il ne veut que votre bien – à cette nuance près, cependant, que contrairement à vous qui ne voyez pas plus loin que la durée de la vie terrestre, le Père, lui, définit toujours la notion de bien dans sa juste perspective : celle de votre éternité, et cela peut changer complètement la donne. En effet, si vous aviez vraiment foi en ma Résurrection – et, bien sûr, en celle de vos frères et en la vôtre –, vous ne considéreriez pas la mort comme une séparation insupportable qui n’engendre que peine, souffrance et parfois colère, mais comme le passage obligé pour accéder aux Demeures Célestes et à la béatitude ; et vous prieriez et feriez célébrer des messes pour que vos défunts puissent être accueillis à la table des élus pour l’Éternité !
Lorsqu’un parent perd un enfant, il reste souvent inconsolable, mais au lieu de se lancer dans une recherche spirituelle qui le conduise à moi et à l’intime conviction, dans la communion des saints, que son enfant est vivant dans l’Autre Monde, qu’il peut percevoir son amour, et même continuer de lui en donner, il se révolte souvent contre le Père et contre moi, et clame qu’il ne croit plus en rien. N’ai-je pourtant pas dit : « Moi, je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra. Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais » (Jn 11, 25). Quel malheur, mes chers enfants, que de voir des pères ou des mères affligés me tourner le dos, accuser leur Père du Ciel, et sombrer dans la mélancolie ou la révolte, cherchant parfois consolation dans le spiritisme ou d’autres pratiques dangereuses pour le salut de leur âme ! Que ceux qui sont dans ce cas et se sont éloignés de la pratique religieuse s’évertuent plutôt à mener une vie conforme à mon Évangile en union spirituelle avec leur enfant décédé, qu’ils trouvent refuge entre les bras de ma sainte Mère, qui, elle aussi, a connu cette terrible épreuve, et moi, je les consolerai et les fortifierai dans leur foi.
Après ces explications, je voudrais reprendre ici quelques exemples qui portent les humains à récriminer contre leur Dieu.
Lorsqu’un enfant naît dans un environnement qui lui est préjudiciable, qu’il est élevé dans une famille dysfonctionnelle ou un milieu où il subit différents traumatismes – manque d’amour, injustice, moqueries, insultes, harcèlement, agressions sexuelles, sévices corporels, etc. –, le Père du Ciel en est-il responsable ? Lorsqu’un enfant naît avec un handicap physique ou mental, ou qu’il développe, à l’adolescence, un problème identitaire alors qu’il n’a pas bénéficié de la présence d’un père, ou que sa mère souffrante a pris, pendant sa grossesse, des médicaments psychotropes, des hormones ou des drogues illicites, le Père du Ciel en est-il responsable ?
Et si de tels enfants deviennent, en grandissant, aigris, contestataires, violents, mal dans leur peau, déséquilibrés, dépressifs, esclaves de la boisson, de la drogue, du tabac, du jeu, du sexe, de la pornographie et de la violence sur la Toile, et de toutes sortes de perversions ; s’ils se scarifient, crachent sur l’autorité de leurs parents, s’insurgent contre leurs maîtres, leurs prêtres, ou plus tard leurs patrons, et ratent tout simplement leur vie, le Père du Ciel en est-il responsable ? Enfin, lorsque vous découvrez que, comble de malchance, les engrammes (1) négatifs – comme d’ailleurs les positifs – peuvent, dans une logique implacable, influer sur le génome humain pendant plusieurs générations via les processus épigénétiques (2), croyez-vous encore que le Père du Ciel en soit responsable ?
Dans l’Ancien Testament, Dieu fit savoir à Moïse qu’il punissait la faute des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération (cf. Ex 34, 6-7). Cette assertion, en vérité, n’est qu’une manière plus simple de parler de l’immuabilité de la transmission du Péché Originel – notion qui, en ce temps-là, n’était comprise que comme un châtiment de Dieu. Ce processus délétère, c’est pourtant l’homme lui-même qui l’a mis en branle en désobéissant au Père Créateur – ce qui lui a valu de se couper de la grâce divine. Depuis les origines, chaque fois que l’homme fait usage de sa liberté pour le mal, il reproduit encore et encore la faute de ses premiers parents, et doit en assumer toutes les conséquences, même à travers plusieurs générations.
En vérité, le Père du Ciel n’est pas l’instigateur de tous ces malheurs. Il n’en est pas non plus le responsable. Il les laisse simplement se produire dans le champ de la liberté humaine et de la loi naturelle sous l’action des puissances des ténèbres. C’est ainsi que le Diable envoie légion d’esprits impurs aliéner la psyché des hommes de la Terre pour les porter au péché, les éloigner de mon Église et des sacrements, et semer partout où il le peut la confusion, la corruption, les calamités et la guerre. Il attise chez l’être humain l’orgueil, la soif de pouvoir, la violence, l’appât du gain et les comportements addictifs ; il le rend rebelle à la foi et à la morale, esclave de la chair et adepte de pratiques perverses ou occultes. Son but est de faire de lui sa marionnette et parfois, à plus ou moins long terme, de le pousser au découragement jusqu’à lui faire commettre l’irréparable – c’est-à-dire le suicide – afin de se saisir de son âme et de l’entraîner en Enfer.
Parmi ceux qui accusent le Père du Ciel d’être responsable de leurs malheurs, il y a enfin les personnes en manque d’amour, qui, cherchant à tout prix chaussure à leur pied, prennent modèle sur le monde présent et font fi de l’enseignement moral de mon Église pour parvenir à leurs fins tout en continuant d’implorer Dieu de leur faire rencontrer la bonne personne. Niaiserie ! Ces personnes, en vérité, développent une pensée magique et superstitieuse et agissent tout aussi imbécilement que si elles allaient construire leur maison au pied d’un volcan actif tout en me demandant de les protéger. Qu’elles ne s’étonnent pas, en de telles conditions, d’accumuler échec sur échec, et prennent bien garde de ne point mettre en cause leur Seigneur car, s’étant éloignées du bon sens, de la raison, et, surtout, de la morale, elles sont les seules responsables de leur situation.
Qu’elles s’évertuent plutôt à respecter les Commandements et à demander au Père du Ciel par la médiation du Fils et dans la plus grande confiance, la grâce de l’abandon à sa volonté, en ayant foi qu’il les conduira, selon ses desseins, vers le type de vocation dans lequel elles pourront le mieux le servir au regard de leur éternité : le mariage, la prêtrise, la vie consacrée, ou un fécond célibat mis au service de l’Église, axé sur la charité, la serviabilité et le don de soi.
Que ceux de mes enfants – hommes ou femmes – qui vivent un célibat douloureux alors qu’ils pensaient se destiner au mariage s’interrogent en profondeur sur les blessures intérieures qui pourraient en être la cause. Qu’ils se donnent, dans un premier temps, les moyens psychologiques et spirituels de les guérir tant auprès d’un thérapeute professionnel que d’un prêtre de mon Église. Une fois cette étape franchie, qu’ils continuent de prier le Père du Ciel dans la confiance pour que sa volonté soit faite et non la leur. Si la situation perdure, la persévérance dans la prière leur permettra de comprendre la volonté divine, de progresser dans les vertus, de gagner de nombreuses grâces et d’éviter de s’éloigner, par lassitude ou par dépit, de l’enseignement moral de mon Église. Qu’ils s’efforcent également de mettre à profit leurs talents dans l’altruisme au service de leurs frères, et qu’ils aident les prêtres, qui, aujourd’hui, se trouvent submergés par pléthore de tâches matérielles et administratives qu’ils seraient heureux de déléguer. Alors, leur cœur s’ouvrira et ils seront en mesure de percevoir une autre dimension de l’amour : celle de l’amour du prochain, couplée d’une paternité ou d’une maternité spirituelle qui, je les en assure, leur sera source de nombreuses grâces pour compenser ce qu’ils ressentent comme une frustration.
« Errare humanum est, perseverare diabolicum » (3), dit la maxime. Je voudrais, mes chers enfants, que vous compreniez que si loin que vous vous égariez dans le péché et si indignes que vous vous en trouviez, il n’est jamais trop tard pour tourner vers moi un cœur contrit et changer de vie. Jamais trop tard pour entrer dans une authentique conversion avec l’aide de prêtres de mon Église, et aussi, lorsque c’est nécessaire, de thérapeutes professionnels. En vérité, c’est le fait de persévérer orgueilleusement dans une vie de désordre et de péché, et de s’entêter dans ses erreurs, qui est malsain et diabolique.
Chaque jour, en effet, l’homme s’expose à mille dangers qu’il pourrait éviter en respectant les Commandements et en faisant appel à la vertu de prudence, au bon sens et à la réflexion. Si j’ai créé mon Église, mes chers petits, c’est afin que tous mes enfants, lavés par le Baptême de la Tache Originelle et agrégés à mon Corps mystique, puissent unis, dans une foi commune, disposer près de chez eux et partout dans le monde d’une paroisse ou d’une mission où ils trouvent paix, lumière et réconfort, prient et reçoivent les Sacrements, et, quels que soient leur âge et leur condition, se sentent appelés, dans un esprit de charité, à mener une vie sainte. Tout homme, en effet, peut, jusqu’à son dernier souffle, se reconnaître pécheur et décider d’en demander pardon à son Seigneur en confession. Il s’agit là d’une démarche de conversion, impliquant l’être humain tout entier, que j’attends de chacun d’entre vous, mes petits, en ce temps de Carême.
Cela signifie d’abord prendre objectivement conscience de tout ce qui n’est pas clair en vous et pourrait faire obstacle au passage de ma grâce – car c’est bien de ma grâce sanctifiante que vous avez besoin pour transformer vos cœurs. Jaugez vos pensées, vos paroles, vos actions et votre négligence à dire ou à faire le bien, et discernez quels sont les aspects de votre personne que vous seriez très gênés de voir soudain mis à nu et exposés sur la place publique. Ce sont ces aspects-là, mes chers enfants, qu’il convient d’analyser, de travailler, et de guérir non seulement spirituellement mais aussi, comme je vous l’ai dit, psychologiquement lorsque cela s’avère nécessaire.
Si vous êtes en froid avec l’un ou l’autre de vos frères ou lui avez fait quelque tort, profitez de ce temps de Carême pour vous réconcilier avec lui, lui demander pardon et réparer, si nécessaire, vos erreurs. Pour demander aussi pardon à Dieu en confession auprès d’un prêtre de mon Église catholique, qui a reçu de moi tout pouvoir pour remettre les péchés ou les maintenir (cf. Jn 20, 23). Si vous avez gagné de l’argent malhonnêtement par le biais de la fraude ou du mensonge, rachetez-vous en vous montrant plus généreux pour votre église ou pour des œuvres de bienfaisance. Si vous péchez par la langue, évertuez-vous plutôt à dire du bien de votre prochain et non à le décrier, et demandez pardon à celui à qui vous avez fait du tort. Si votre sensualité vous joue des tours, mettez tout en œuvre pour vous éloigner des sources de tentation et éviter les occasions de chute, et profitez aussi de ce temps de Carême pour discipliner votre corps, vivre dans la continence, jeûner et purifier votre organisme tout autant que vos pensées. Je vous conseille, à cet égard, de remplacer les errements de votre psychisme et de vos sens par des moments de prière ou d’oraison et d’activité physique, vous ne vous en porterez que mieux.
Si vous vous trouvez dans une structure de péché comme c’est le cas des personnes qui, mariées religieusement, ont quitté leur conjoint pour aimer quelqu’un d’autre, vous êtes adultère (4) même si votre nouvelle union vous paraît harmonieuse. Je sais combien ce terme peut vous rebuter, mais il désigne pourtant parfaitement votre état. Que vous soyez un homme ou une femme, votre devoir moral est donc de confesser ce grave péché auprès d’un prêtre, et, pour obtenir une absolution qui soit valide, de vous engager à mettre fin à cette situation. Seulement deux options, alors, se présentent à vous : soit une séparation définitive, soit une vie en frère et sœur jusqu’à obtenir d’un tribunal ecclésiastique – si celui-ci la juge fondée – une déclaration en nullité de votre premier mariage pour pouvoir en contracter un nouveau autorisé par l’officialité.
Telle est la loi morale, mes petits, et il n’y a là, quoi qu’on vous en dise, aucune échappatoire ! Je sais que cette loi a aujourd’hui beaucoup de mal à être comprise dans la mesure où bien peu sont ceux qui la respectent. Cependant, se comporter en chrétien en ce domaine, c’est suivre le Commandement : « Tu ne commettras pas d’adultère », car celui ou celle qui commet cette faute, s’ils ne s’en repentent, ne recevront pas le Royaume de Dieu en héritage (cf. 1 Co 6, 9-10). Si vous êtes concernés, je vous demande vivement de vous en confesser au plus tôt, de couper tout lien illicite et de suivre l’exhortation que j’ai adressée à la femme coupable de ce péché : « Va, et désormais ne pèche plus ! » (Jn 8, 11).
Si vous avez des relations charnelles en dehors du mariage ou avec des personnes de votre propre sexe, je vous appelle aussi à une réelle conversion qui vous pousse à mettre fin à une vie de débauche ou d’impureté, et vous fasse découvrir l’amour dont je vous aime et le bonheur que fait grandir en l’homme une authentique chasteté. Celui qui prétend m’aimer mais refuse, par orgueil ou par négligence, de soigner les blessures intérieures de sa psyché auprès d’un thérapeute professionnel, s’enferme dans un cercle vicieux de « péché-culpabilité-confession » dont il peut rarement sortir par lui-même. En vérité, il lui est impossible de vivre pleinement et sainement sa foi parce que ses blessures entravent le libre passage de ma grâce. Se condamnant à souffrir, il risque de faire de sa vie un enchaînement d’échecs et de contrariétés, engendrant déception sur déception et, chaque fois, une grande culpabilité. En revanche, celui qui vraiment se convertit et veut vivre sa foi dans un esprit dépourvu de jansénisme ou de superstition, comprend qu’il ne doit pas rechigner à soigner ses blessures, afin d’être plus réceptif à ma grâce, de vivre plus saintement, et de trouver en moi son bonheur.
Alors, choisissant parmi les moyens que mon Église met à sa disposition pour l’aider à avancer sur le chemin de la perfection – sacrements, prière, liturgie des Heures, oraison, adoration, rosaire, jeûne, œuvres de charité, aumônes – et uni à moi tout au long de sa journée par de brèves invocations spontanées, qui réjouissent mon cœur sacré (5), il devient mon ami, et moi, je le comble de mes bienfaits. S’il me sert, le Père du Ciel l’honorera (cf. Jn 12, 26), et je répondrai à ses prières et à ses souhaits, allant jusqu’à changer ses relations avec son entourage, lui faire franchir des étapes qui lui paraissaient insurmontables, le guider vers de saines rencontres, agir pour lui sur la météo ou sur des éléments de la nature, modifier le cours des choses – et tout cela pour lui témoigner simplement ma joie de le voir s’efforcer de mener une vie conforme à mon Évangile. Vous trouverez d’ailleurs dans nombre de vies de saints, quantités d’anecdotes parfaitement véridiques décrivant de tels événements – si toutefois elles y figurent encore, car le souci de rationalisme bien peu éclairé de certains auteurs a pu les pousser tout bonnement à les taire. Quoi qu’il en soit, plus mes enfants sont proches de moi, plus forte est leur foi, et plus je leur donne, en union avec le Père, de pouvoir déplacer des montagnes (cf. Mc 11, 23).
À d’autres encore, qui s’offrent à moi en âmes-victimes, je donne de participer à ma Passion et à mon Calvaire, afin que leurs souffrances, unies aux miennes dans l’amour – et non pas ajoutées volontairement quelle qu’en soit la qualité ou la quantité – participent gratuitement, dans le présent, au salut de leurs frères pécheurs.
Je voudrais enfin remercier une fois encore mon messager et son Père spirituel, garant de l’orthodoxie de cette œuvre, pour la parution sur papier du troisième volume de ces messages et pour sa préface, ainsi que ceux qui y ont apporté leur collaboration pour les relectures, la mise en page et l’édition elle-même. C’est un très beau livre, que je vous presse de vous procurer et de faire connaître abondamment autour de vous en ces temps difficiles dans un esprit d’apostolat, parce qu’il conduit, page après page, à mon Évangile dans le contexte d’aujourd’hui et à l’amour de l’Église (6).
Je vous souhaite, mes chers enfants, un bon et saint Carême et une excellente préparation à la fête de Pâques, où j’entends bien ressusciter aussi en vos cœurs pour les apaiser, étancher leur soif d’amour et de spiritualité, et y attiser, dans la joie, les vertus de foi, d’espérance et de charité, et le désir de sainteté.
Je vous bénis.
Jésus
(1) En neurophysiologie, un engramme est la trace ou l’empreinte mémorielle biologique laissée dans le cerveau par un événement du passé.
(2) V. note 1 du Message du 3 juin 2023 de Paul, Apôtre de Jésus-Christ.
(3) Cette locution latine signifie : « L’erreur est humaine, persévérer (dans son erreur) est diabolique. »
(4) V. Message du 8 novembre 2021 de saint Paul, Apôtre de Jésus-Christ.
(5) Il s’agit là d’oraisons jaculatoires.
(6) Il est à noter que le « messager » a fait don des droits d’auteur à une association pieuse.
Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.