Message du 7 novembre 2024





Frères bien-aimés,

Dans un récent message (1), le Christ Jésus vous exhortait encore à prier et à mener une vie sainte afin que soient contrecarrés les desseins de l’oligarchie mondialiste, qui, sous des dehors charitables et de modernité, menace aujourd’hui d’avilir les êtres humains, de détruire leur santé, leur identité sexuée et leurs droits, et de les transformer en de vulgaires robots. Ces gens-là, se prenant pour des dieux, menacent aussi de réduire à néant les nations dans leur identité propre pour les mettre sous leur joug, et de prendre le contrôle des phénomènes naturels. Ils veulent enfin anéantir l’Église catholique en tant que gardienne de la foi et de la morale pour pouvoir régner tyranniquement sur le monde dans tous les domaines.

Oui, frères, ne vous y trompez pas : cette menace est bien réelle et l’Église de la Terre a aujourd’hui grand besoin du secours et de la prière de l’Église du Ciel dans la communion des saints. C’est pourquoi moi, Paul, Apôtre des nations, je m’adresse encore aujourd’hui à vous de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ dans l’Esprit Saint. Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser dans l’ignorance au sujet de tout ce qui arrive et qui peut vous paraître si invraisemblable, si irrationnel et si déstabilisant qu’il est normal que vous soyez en proie au doute. J’entends bien, cependant, par ce message, vous faire sortir de votre scepticisme ou de votre apathie, et vous convaincre de regarder la réalité en face (2).

Récemment, ces « méchants », qui ont en mains les rênes du pouvoir dans de nombreux pays et de nombreux domaines, ont voulu, par l’entremise des médias – qui presque tous les servent –, vous faire croire que le peuple Américain allait voter en masse pour une femme sans complexes ni tabous, féministe de surcroît et défenseur du transgenrisme et du wokisme ; pour une femme qui prétendait faire entrer l’Amérique dans une ère nouvelle faite de liberté et d’égalité entre tous les individus quels que soient leur sexe, leur race et leur origine – ce qui, en soi, était déjà totalement illusoire. Mais le peuple américain n’a pas été dupe, et bien lui en a pris !

Le nouveau Président, qui compte parmi ses collaborateurs des personnes courageuses et au jugement sûr – dont un homme inspiré qui a compris depuis un certain temps la vérité sur les problèmes de santé auxquels doivent aujourd’hui faire face tant d’Américains –, ne songe à présent qu’à bannir du pouvoir et des grands corps de l’État les membres gangrenés qui veulent conduire les États-Unis à leur ruine en y semant le chaos et le vice, et, en conséquence, le malheur, la guerre, l’effondrement économique, le crime, la maladie, et, bien sûr, l’apostasie. Ce nouveau gouvernement, honni des mondialistes – et pour cause puisqu’il menace d’être leur pire ennemi ! –, est aujourd’hui prêt à mettre à exécution, dans la plus grande transparence, un vaste plan d’assainissement. Pourtant, il devra rester extrêmement vigilant et extrêmement prudent car les « méchants » préparent leur défense. Les pays européens – et particulièrement la France –, encore victimes de leurs préjugés, de leurs idéologies libertaires et marxistes, et de l’infâme lavage de cerveau que leur font toujours subir les médias aux ordres des politiques, sont, pour le moment, bien loin d’un tel éveil !

Si, en 2020, Dieu a permis qu’en Amérique une fraude électorale de grande envergure – dont il reste encore des traces – empêche le Président sortant de remporter l’élection, c’est parce que ce dernier n’était pas encore prêt pour affronter des ennemis qui, je vous le rappelle, ne sont pas de simples adversaires de chair et de sang mais des êtres littéralement possédés par les esprits du mal (3). Il devait aussi disposer du temps nécessaire pour apprendre de ses anciennes erreurs, passer au peigne fin les manœuvres diaboliques de ceux qui œuvrent sournoisement au sein des administrations nationales et d’organisations internationales gouvernementales et non gouvernementales, et, enfin, parvenir à convaincre les Américains de lui accorder leurs suffrages.

Alors, frères bien-aimés, réjouissez-vous car les prières de ceux qui ont compris les enjeux considérables de cette élection de 2024 ont porté leurs fruits ! À la veille des précédentes élections en 2020, j’avais d’ailleurs annoncé à celui qui me prête encore aujourd’hui sa plume – afin qu’il garde bon espoir et en toute confidence – que le Président sortant remporterait bientôt la victoire, celle du bien sur le mal, que cette victoire serait manifestée à la face du monde, qu’elle déconcerterait chefs d’État et hommes politiques corrompus, et qu’elle délierait les langues des pervers, qui, pleins de rage, n’auraient d’alternative que de s’exprimer au grand jour, révélant ainsi toute leur malveillance.

Eh oui, frères bien-aimés, nous y voilà ! car une vaste majorité d’Américains de toutes races, de toutes couleurs et de tous milieux sociaux – hommes et femmes confondus – ont choisi de voter pour leur ancien Président, alors que la plupart des médias de votre Europe sous influence – et particulièrement en France – le caricaturent comme un fasciste, voire un dictateur misogyne, raciste, homophobe, transphobe, hostile aux « migrants », et – plus révoltant encore selon leur point de vue – opposé à l’interruption volontaire de grossesse ! Le simple fait que tous ces médias, grassement subventionnés, crachent avec autant de véhémence sur un individu qui déclare avoir placé sa vie et son pays entre les mains de Dieu, devrait déjà vous sembler plus que suspect et vous porter à vous interroger : quel maître ces médias – et donc vos gouvernants, dont ils sont la voix – servent-ils ? Rassurez-vous, je ne vous laisserai pas perdre de temps à chercher la réponse : ce maître, je vous l’affirme, c’est Satan lui-même !

Les Américains, dans leur ensemble, ont une mentalité différente des Européens. S’ils se sont prononcés en faveur de leur nouveau Président, c’est parce qu’il s’est engagé, entre autres, à restaurer dans son pays la démocratie, la sécurité et la liberté, et à faire éclater la vérité dans nombre de domaines où se sont installés le mensonge et le crime – notamment la santé, où la situation est gravissime à la suite des pseudo « vaccins » – afin d’en neutraliser les responsables ; à renforcer l’économie pour qu’elle serve, autant qu’il est possible, les intérêts de tous, du plus grand au plus petit ; à réexaminer la question de l’interruption volontaire de grossesse ; à interdire le transgenrisme, les substances bloquant la puberté, les mutilations sexuelles des mineurs, et à lutter contre la pédophilie ; à mettre fin à l’immigration clandestine, et, pour couronner le tout, à abolir l’idéologie woke, qui est le moteur principal de toute cette perversité. En outre, le Président élu s’est prononcé en faveur de la paix dans le monde, contrairement à son prédécesseur – qui peut encore aujourd’hui déclencher la guerre – et il n’a pas eu honte d’afficher sa foi en Dieu, en la Vierge Marie et en l’Archange Michel, par qui il se sent aimé et protégé.

Ayant une meilleure connaissance des desseins de l’oligarchie mondialiste – et surtout de leur exécution via les puissantes organisations internationales, les privés de l’industrie, de la finance, et les gouvernants machiavéliques qui la servent –, le futur locataire de la Maison Blanche est aujourd’hui conscient de la volonté que tout ce beau monde a, au nom d’un utopique bonheur, d’anéantir les libertés individuelles et la propriété privée, de détruire la famille traditionnelle et la santé des individus, et de pervertir et abêtir les enfants dès leur plus jeune âge à travers un système éducatif décadent, pour ensuite prendre le contrôle de leurs cerveaux via l’intelligence artificielle. Vous pouvez le constater par vous-mêmes, frères bien aimés : c’est le monde à l’envers, la mort de l’humanité !  

Toutes ces dérives morales et intellectuelles présentées comme des progrès salutaires au sein des sociétés, sont une telle aberration pour quiconque est doté d’un minimum de sens commun et de morale, qu’il est éthiquement nécessaire de les éradiquer promptement et vigoureusement partout où elles se manifestent avant que la chienlit ne s’installe définitivement.

Et pourtant, frères bien-aimés, ne voyez-vous pas que, malgré tout cela, vos médias grand public et nombre de réseaux sociaux impliquant journalistes, politiciens, artistes et intellectuels, continuent à vomir, avec une virulence peu commune, sur le nouveau Président des États-Unis, qui ne serait qu’un nazi, un malade atteint de démence, un populiste que d’autres populistes auraient mis au pouvoir, et qui devrait être neutralisé, tant est grande leur haine !

Ces gens-là n’ont, en vérité, aucune idée de ce qu’est la « liberté » aux yeux de Dieu. C’est pourquoi je m’en vais vous en donner la définition : la vraie liberté, c’est d’abord une prise de conscience de la vérité, du bien et du mal objectifs, suivie d’un renoncement volontaire à ce qui asservit, et d’une action positive pour en venir à bout. L’addiction au tabac, bien que simple vétille comparée à tout cela, en est un bon exemple : ceux qui en sont les victimes et fument irrépressiblement cigarette sur cigarette n’ont plus aucune idée de ce qu’est l’odeur d’un air pur ni le goût réel des aliments, et, s’ils n’ont point la volonté de mettre fin à cette habitude néfaste, ils pourront essayer toutes les thérapies du monde, qu’ils ne parviendront jamais à s’en départir durablement. La vérité, frères bien-aimés, c’est tout simplement la pureté de l’air et la saveur effective des aliments, et cette vérité là ne dépend d’aucune des perceptions personnelles que peuvent en avoir les uns ou les autres chez qui elle est forcément dénaturée.

Il est, au sujet de l’élection du nouveau Président des États-Unis, une vérité qui n’admet aucune contradiction : les urnes ont signifié objectivement que les Américains ont la volonté de se libérer de ce qui les asservit, c’est-à-dire de cette dictature idéologique prégnante, de la corruption, du mensonge, du poison inoculé par les injections et de la censure généralisée envers tout ce qui n’est pas woke.

Cependant, un tel projet ne pourra réellement se concrétiser qu’à travers la mise en place de mesures radicales destinées à couper le mal à la racine – mesures qui ne manqueront pas de susciter, à l’intérieur, une rébellion plus farouche encore de la part des « méchants » et de leurs cohortes de pervers, et, à l’extérieur, des critiques pour le moins caustiques de la part de leurs homologues étrangers, qui, sentant le vent tourner, ne manqueront pas de s’interroger sur les retombées foudroyantes que pourraient leur réserver ces résultats électoraux.

Au sein de l’Église catholique, et jusque dans ses plus hautes sphères, les adversaires du nouveau Président, victimes eux aussi de l’influence perverse des médias tout autant que de leurs propres positions politiques, ne manqueront pas, pour leur part, d’accuser ce dernier de pécher contre la charité. Voilà pourtant qui ne saurait se justifier en aucune manière puisque lutter contre le Mal tel qu’il est défini par La Bible, et s’efforcer de rétablir la vérité là où est le mensonge, la santé là où s’impose la maladie, l’union là où règne la discorde, la sécurité là où est le danger, l’espérance là où est le désespoir, la paix là où sévissent la violence et la guerre, et l’amour là où domine la haine, n’est aucunement œuvrer contre la charité !

Cependant, dans un monde où s’affrontent plus que jamais la lumière et les ténèbres, et où pullulent les antichrists et les faux prophètes, un juste discernement suivi d’un juste jugement s’avèrent absolument nécessaires à la lumière de l’Évangile :

« C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez, dit le Seigneur Jésus. Va-t-on cueillir du raisin sur des épines, ou des figues sur des chardons ? […] Tout arbre qui ne donne pas de beaux fruits est coupé et jeté au feu. » (Mt 7, 16. 19)

C’est pourquoi celui qui prend spontanément la défense, sans même une once de prudence ou de discernement, de n’importe quelle veuve ou de n’importe quel orphelin, de n’importe quel « migrant » ou de n’importe quel pécheur obstiné dans le mal, ne fait pas, en vérité, œuvre évangélique mais flirte avec l’utopie, l’imprudence et parfois aussi le mal ! Car même l’homme le plus charitable du monde, s’il ne sait pas nager, ne doit pas plonger pour aller sauver son frère qui se noie, sinon, ce sont deux cadavres qui devront être remontés à la surface (4).

En Amérique, le futur Président n’a jamais affirmé qu’il était contre l’immigration : il veut simplement, par mesure de prudence, la réguler, et nul ne devrait le diaboliser pour cela. En vérité, les chefs d’État européens devraient eux-mêmes suivre son exemple, car l’immigration illégale tout comme l’immigration de masse ne peuvent que porter préjudice aux autochtones des pays qui les subissent. Souvent exploitées par des systèmes corrompus pour en retirer de substantiels profits, et parfois mises en place délibérément pour déstabiliser des pays – en particulier sur le plan économique et social –, y introduire des substances illicites ou y créer des réseaux de prostitution impliquant même des enfants, ces formes d’immigration ne devraient jamais se justifier, au nom de la charité, par une compassion débonnaire qui éclipserait dans les faits tout ce qu’elles peuvent dissimuler.

Il en est de même pour l’avortement, qui, dès les premiers temps du christianisme, a été considéré comme un meurtre. Même en cas de viol, le refus d’une future mère de garder son enfant ne saurait suffire à cautionner un crime. Cependant, comme le concède l’Église, une interruption de grossesse non seulement peut mais doit être légitimement pratiquée lorsque survient une pathologie qui met gravement en danger à la fois la vie de l’enfant et celle de la mère (5) – ce qui est relativement rare.

Si des loups ont été installés par l’oligarchie mondialiste dans les postes clés de nombreux États européens, c’est à dessein de les déstabiliser en y apportant l’inflation, le chômage, le crime et la corruption afin que la solution d’un gouvernement européen, et, à terme, mondial, devienne la seule issue possible pour régler les problèmes.

L’Amérique n’est donc pas le seul pays en jeu, mais d’elle peut vous venir la liberté si vous continuez, frères bien-aimés, à prier pour l’éradication du mondialisme partout où il sévit, et pour vos gouvernants, même les plus corrompus. Car il est impératif que tous ces criminels, qui n’agissent que par orgueil, par idéologie et par appât du gain, soient écartés, pour le bien commun, de la vie des États. Et ce n’est pas seulement en théorie qu’il faut aborder ce problème mais sur le terrain et dans l’urgence, car, comme le dit le célèbre aphorisme : « La carte n’est pas le territoire » !

Priez donc, frères bien-aimés, pour que bientôt soit officiellement dénoncée, preuves à l’appui, l’affreuse vérité sur le fameux « virus » fait de main d’homme, la fameuse « pandémie » et les prétendus « vaccins » introduits sur le marché dans un but assurément eugénique puisque leurs effets secondaires peuvent conduire à la mort. Si la sincérité de votre prière touche le cœur de Dieu, cela se produira bientôt. Mais ils seront légion ceux qui seront encore dans le déni et penseront qu’il s’agit là d’un coup monté par le nouveau Président américain et son équipe. Quoi qu’il en soit, ils seront contraints, à terme, de se rendre à l’évidence au vu du bilan officiel des victimes, qui sera considérable si les personnes « vaccinées » ne se résolvent à prendre les compléments alimentaires nécessaires au rétablissement de leur santé.

Réveillez-vous, frères bien-aimés, et priez ! priez pour le nouveau Président des États-Unis, qui, s’il rend public certains dossiers, pourrait changer la face de l’Amérique et du monde, et même secouer le Vatican. Priez pour qu’en dépit des concessions qu’il sera amené à faire et des stratégies qu’il sera conduit à adopter, il trouve toujours son inspiration dans l’Évangile, son soutien dans le Christ Jésus et sa protection derrière le bouclier de l’Archange Michel, sous le manteau de la bienheureuse Vierge Marie. La gouvernance d’un tel pays et la gestion de ses relations diplomatiques étant une tâche considérable, je vous exhorte, frères, à en constater surtout les aspects positifs.

Je sais que certains qui liront ce message mettront en doute son contenu tout autant que ma signature. Cependant, je vous rappelle que si votre Père du Ciel peut compter tous les cheveux de votre tête (cf. Lc 12, 7) et qu’aucun d’eux ne tombe sans qu’il en ait connaissance, il connaît aussi la situation du monde, les forces qui s’y déchaînent aujourd’hui et les difficultés que vous y rencontrez. C’est pourquoi il veut, par ces messages, qui sont le fruit de la communion des saints, prendre soin de tous ses enfants en leur rappelant inlassablement, dans le contexte d’aujourd’hui, l’enseignement de l’Évangile (cf. Jn 14, 26-27), en les ramenant à l’obéissance de la foi, en les aidant à mieux discerner, et en les protégeant des pièges toujours plus subtils du Diable, qui, comme un lion qui rugit, rôde toujours à la recherche de sa proie (cf. 1 P 5, 8).

C’est pourquoi je terminerai mon discours en exhortant non seulement le nouveau Président des États-Unis mais aussi tous les chefs d’État – à commencer par le vôtre – à mettre en pratique ces propos si pertinents du Livre de la Sagesse :

« Aimez la justice, vous qui gouvernez la terre, ayez sur le Seigneur des pensées droites, cherchez-le avec un cœur simple, car il se laisse trouver par ceux qui ne le mettent pas à l’épreuve, il se manifeste à ceux qui ne refusent pas de croire en lui […].

Écoutez donc, ô rois, et comprenez ; instruisez-vous, juges de toute la terre. Soyez attentifs, vous qui dominez les foules, qui vous vantez de la multitude de vos peuples. Car la domination vous a été donnée par le Seigneur, et le pouvoir, par le Très-Haut, lui qui examinera votre conduite et scrutera vos intentions. En effet, vous êtes les ministres de sa royauté ; si donc vous n’avez pas rendu la justice avec droiture, ni observé la Loi, ni vécu selon les intentions de Dieu, il fondra sur vous, terrifiant et rapide, car un jugement implacable s’exerce sur les grands ; au petit, par pitié, on pardonne, mais les puissants seront jugés avec puissance. Le Maître de l’univers ne reculera devant personne, la grandeur ne lui en impose pas ; car les petits comme les grands, c’est lui qui les a faits : il prend soin de tous pareillement. Les puissants seront soumis à une enquête rigoureuse.

C’est donc pour vous, souverains, que je parle, afin que vous appreniez la sagesse et que vous évitiez la chute, car ceux qui observent saintement les lois saintes seront reconnus saints, et ceux qui s’en instruisent y trouveront leur défense. Recherchez mes paroles, désirez-les ; elles feront votre éducation. La Sagesse est resplendissante, elle ne se flétrit pas. Elle se laisse aisément contempler par ceux qui l’aiment, elle se laisse trouver par ceux qui la cherchent […].

Le commencement de la Sagesse, c’est le désir vrai d’être instruit ; le souci de l’instruction, c’est l’amour ; l’amour, c’est de garder ses lois ; observer les lois, c’est l’assurance de l’incorruptibilité, et l’incorruptibilité rend proche de Dieu. Ainsi le désir de la Sagesse élève à la royauté. Si donc vous, souverains des peuples, vous prenez plaisir aux trônes et aux sceptres, rendez hommage à la Sagesse afin de régner pour toujours. » (Sg 1, 1-2 ; 6, 1-12. 17-21)

… et en vous exhortant vous aussi, frères bien-aimés, à être des sages qui s’efforcent d’aimer leurs gouvernants corrompus et de prier pour leur conversion, car celui qui sème pour sa propre chair et qui hait ses ennemis ne récoltera lui-même que corruption et haine, mais celui qui sème pour l’Esprit et qui aime ses ennemis récoltera la Vie Éternelle auprès de Dieu, de sa sainte Mère, des anges, et de tous les bienheureux que nous sommes (cf. Ga 6, 8) !

Je vous en conjure au nom du Seigneur Jésus-Christ : partagez ce message avec tous vos frères. Je vous bénis de tout cœur au nom Père et du Fils et de l’Esprit, qui est la source de toute sagesse.

+ Paul, Apôtre des nations

(1) V. Message du 27 juillet 2024 de notre Seigneur Jésus-Christ.

(2) Les messagers du Ciel ont plusieurs fois conseillé aux lecteurs de ces messages d’aller naviguer sur Internet pour y trouver les informations sérieuses qui répondent à leurs questions. Pour le moment, seuls quelques médias, surtout les médias alternatifs, diffusent ces informations, mais un discernement reste toujours de mise.

(3) V. Message du 3 juin 2023 de saint Paul, Apôtre de Jésus-Christ.

(4) V. Message du 6 septembre 2018 de notre Seigneur Jésus-Christ.

(5) Dans le cas d’une grossesse extra-utérine dans la trompe contenant l’embryon, l’Église autorise, lorsqu’il n’y a pas d’autre possiblité, l’ablation de celle-ci (salpingectomie) pour sauver la vie de la mère.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.