Frères bien-aimés,

Restez dans l’espérance de jours meilleurs et continuez de prier et d’offrir à Dieu sacrifices et aumônes pour la paix dans le monde et dans les consciences, pour la liberté des enfants de Dieu, et pour que vérité soit faite sur la gestion de la crise sanitaire, la létalité des injections géniques, et les intentions malveillantes des dirigeants qui veulent engager l’Europe dans la guerre au détriment de la paix :

« Désunis, [Seigneur], les peuples qui aiment la guerre. » (Ps 68 [Vulg. 67], 31)

Priez également pour que les pays d’Europe ouvrent les yeux et recouvrent leur discernement, leur autonomie, et l’amour dont Dieu les aime :

« N’est-ce pas toi, Seigneur, qui reviendras nous faire vivre
et qui seras la joie de ton peuple ?
Fais-nous voir, Seigneur, ton amour,
et donne-nous ton salut ! » (cf. Ps 84 [Vulg. 87], 8)

Priez pour que les gouvernants qui se sont faits les fantoches d’un pouvoir supérieur soient démasqués, que leurs mensonges et leurs malversations soient dévoilés, et que preuve soit faite de leur duplicité. Priez pour que le monde comprenne que si de tels êtres sont arrivés à ces hautes fonctions d’une manière aussi inattendue, c’est par le truchement de cette fameuse oligarchie mondialiste – que ces messages appellent « les méchants » – qui, avec la complicité de médias grand public, veut gouverner le monde. Leur but : affaiblir les pays pour les placer sous leur subtile et redoutable dictature, et déposséder les citoyens de leurs libertés, de leurs biens matériels, et même de leur pensée propre par un conditionnement forcé, la promulgation abusive de lois immorales et un usage immodéré de l’intelligence artificielle, qui, si elle n’est contrôlée par des instances intègres, sera à l’origine de graves dérives dans de nombreux domaines.  

Cette politique totalitaire sournoise et destructrice, qui était également menée aux États-Unis depuis plusieurs décennies sous l’influence perverse des mêmes – comprenez : l’oligarchie mondialiste et ses sbires – est, grâce à vos ferventes prières, en passe d’y être démantelée par son actuel gouvernement. C’est pourquoi je vous exhorte, frères bien-aimés, à continuer de prier afin qu’avec une droite raison, ce gouvernement utilise ses pouvoirs au service du bien, de la vérité, de la justice, de la paix, de la liberté des individus et de leur santé physique et morale dans le respect de l’Évangile du Seigneur Jésus-Christ.

Oui, il est essentiel, frères, qu’au milieu de toute cette confusion vous sachiez faire la part des choses en discernant le bien du mal, la vérité du mensonge, le camp des bons et celui des « méchants », et que vous invoquiez Dieu afin que les réformes et les démarches entreprises aujourd’hui aux États-Unis pour le bien aient des retombées salutaires jusqu’en Europe et aux extrémités de la Terre.

Il arrive, en effet, qu’en temps de crise, lorsque les hauts dignitaires de l’Église ne parlent ni n’agissent comme vous, chrétiens, pourriez vous y attendre, Dieu suscite des êtres de bon sens, de loyauté, de courage et de foi, pour dénoncer haut et fort à leur place les dérives, les mensonges, la corruption ou l’hérésie, et combattre tout cela avec fermeté pour le plus grand bien de tous. 

Face à ceux qui sont attirés par le lucre, empêtrés dans leur matérialisme, leur athéisme, leurs perversions sexuelles, leurs idéologies faussement charitables, leurs sensibilités religieuses douteuses, et, bien souvent, des pratiques occultes qui leur font rejeter non seulement la foi et la morale chrétiennes mais aussi une indispensable honnêteté, le nouveau gouvernement américain s’évertue, depuis qu’il est en place, à « appuyer là où ça fait mal » et à trancher dans le vif. Il dénonce les mensonges et la corruption du présent comme du passé, et prend des mesures radicales pour démanteler l’emprise tentaculaire qu’exerce l’État profond (1) sur l’Amérique et la protéger de tout ce qui pourrait continuer à l’affaiblir, l’avilir, la pervertir moralement et la réduire en esclavage. C’est pourquoi je salue tout particulièrement son action en faveur du peuple américain, qui pourra s’étendre à l’humanité tout entière si les hommes consentent à sortir de leur immobilisme.

Frères, lorsque des parents s’évertuent à mettre leurs enfants à l’abri de personnes ou d’institutions susceptibles de leur nuire, lorsqu’ils les protègent du mal, de l’immoralité, de la pédocriminalité, de la pornographie, lorsqu’ils les éduquent sainement et avec amour et fermeté – se réservant aussi le droit de les instruire sur l’amour et la sexualité –, croyez-vous qu’ils agissent comme des dictateurs ? Non point ! diront ces mêmes enfants devenus des adultes fiers de l’éducation qu’ils auront reçue. Eh bien, frères aimés, les véritables chefs d’État dignes de ce nom, sont ceux qui savent, comme de bons parents vis-à-vis de leurs enfants, prendre les mesures adéquates pour protéger leur pays et ses habitants contre tout ce qui pourrait leur nuire – physiquement, psychologiquement, intellectuellement et moralement – et les priver d’une véritable liberté, ordonnée par le bien.

En tout état de cause, cette vraie liberté n’est pas celle qui autorise n’importe qui à faire n’importe quoi, ou qui laisse des personnes corrompues, psychologiquement déséquilibrées, ou droguées, en entraîner d’autres dans le mal, dans des mutilations ou des addictions qui risquent de porter gravement atteinte à leur corps, à leur psychisme et à leur vie affective et spirituelle tout à la fois. C’est pourquoi le nouveau gouvernement américain s’est engagé à protéger son peuple par une éducation de qualité et des lois appropriées, que tout individu sera tenu de respecter pour son bien – un bien concret et palpable qui n’a rien de commun avec le pseudo bien que peuvent promettre la fausse liberté et la fausse charité ; un bien résultant du principe d’éducation et de prévention plutôt que de réparation ou de reconstruction lorsque des dégâts sont déjà bien installés (2).

En outre, quand le nouveau gouvernement américain déclare ne plus tolérer aux États-Unis la présence d’étrangers en situation irrégulière et renforce ses frontières pour éviter l’immigration clandestine, c’est son droit le plus strict. Lorsqu’il était sur cette Terre, le Seigneur Jésus lui-même a voulu donner priorité à son peuple et aux siens. Ainsi, quand la Cananéenne le sollicita pour qu’il expulse un démon de sa fille, il dit à ses disciples : « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël » (Mt 15, 24), et, se tournant vers la femme : « Laisse d’abord les enfants se rassasier, car il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. » (Mc 7, 27).

En revanche, le gouvernement américain ne s’oppose pas à l’accueil d’immigrants qui accepteront de se conformer à ses lois, et s’il tient à contrôler le nombre des nouveaux arrivants et leur intégrité, ce n’est qu’une question de bon sens et, une fois encore, son droit le plus strict. De même, le Seigneur Jésus accepta d’exaucer le vœu de l’étrangère citée plus avant, parce que, par son humilité et la sagesse de sa réplique, elle fit preuve d’une foi tout aussi grande que celle des enfants d’Israël devenus ses disciples (cf. Mt 15, 25. 27).

Si le nouveau gouvernement américain a décidé de contrôler, voire de mettre un terme à tout un système de subventions accordées à nombre d’organisations, agences, collectifs, laboratoires et associations diverses, c’est qu’il s’est rendu compte que, dans la plupart des cas, cet argent allait servir d’autres objectifs – en particulier, ceux des mondialistes. Donc, bien lui en a pris car une telle mesure peut avoir des retombées considérables ! Tout comme les bons parents veillent prioritairement sur leurs propres enfants et leur procurent protection et assistance, le gouvernement américain veut veiller avec soin sur les siens, et entend utiliser les deniers de l’État correctement pour subvenir d’abord à leurs besoins et servir, si nécessaire, une philanthropie honnête et authentique.

S’il s’arroge aussi le droit légitime de contrôler les dérapages idéologiques et même moraux qui, toujours au nom de la fausse liberté et de la fausse charité, portent atteinte à la vie, au genre, à la famille et à la libre expression, il n’agit point en dictateur mais dans le dessein de réaliser concrètement les promesses électorales du candidat en faveur duquel une majorité d’Américains se sont prononcés démocratiquement à travers les urnes. Ces dérapages, en effet, visent à manipuler les esprits jusqu’à déclarer bien ce qui est mal et mal ce qui est bien (cf. Is 5, 20) ou pure normalité (interruptions volontaires de grossesse, perversions sexuelles, changements de sexe, etc.). Le gouvernement américain tient également à tout mettre en œuvre pour protéger les plus jeunes de la pédocriminalité et démanteler les réseaux souterrains qui la rendent possible – ce qui ne sera pas tâche facile dans la mesure où de nombreuses « personnalités » internationalement connues appartiennent à ces réseaux, qui bénéficient évidemment de protections jusque dans les plus hautes sphères des États.

Alors, priez, frères bien-aimés, pour que l’action menée courageusement par le nouveau gouvernement américain aboutisse à des révélations explosives qui puissent anéantir l’oligarchie mondialiste et les marionnettes qu’elle a placées à la tête des États, institutions et organismes – y compris l’Église – pour y implanter ses idéologies perverses et sataniques (wokisme, marxisme, apologie du libertinage et des relations contre nature, normalisation de l’avortement et du transgenrisme, liberté migratoire inconditionnelle, théologie de la libération, etc.).

Si vous continuez à prier avec persévérance, frères, tout cet endoctrinement et toute cette machination finiront par s’effondrer. Cela fera tache d’huile, et les Européens – dont les Français, qui auront le plus de mal à suivre le mouvement – sortiront de leur léthargie. Mais rien n’est encore joué car les « méchants » sont très puissants et capables du pire, et nombre d’affaires qui auraient déjà pu être divulguées sont encore sous le coup d’une implacable censure. En outre, plus des informations semblent dépasser la mesure, plus elles paraissent incroyables, et plus elles suscitent la défiance ou le doute. Lorsque cela touche des personnages de romans, le lecteur simplement s’en divertit. Mais quand il s’agit de personnages publics dans la vraie vie, c’est une autre affaire !  Car ceux qui s’évertuent à dénoncer courageusement leurs crimes ou leur duperie sont immédiatement accusés de complotisme – voire de démence – par les personnes mises en cause, qui, craignant bien sûr pour leur image et leur réputation, s’acharnent à faire censurer autoritairement tous ceux qui tentent de révéler la vérité.

Le poisson commence à puer et à pourrir par la tête (3), dit l’adage. Tel est aujourd’hui le cas dans plusieurs endroits du monde, mais surtout en Europe – et particulièrement en France, où continuent de sévir la corruption, l’immoralité, le mensonge, la censure et l’apostasie.  

Laissez-moi vous le redire, frères, sans détour : ne ménagez pas vos efforts pour faire monter vers Dieu des prières sincères, prendre votre croix et suivre courageusement le Seigneur Jésus sur le chemin de la sainteté, car c’est seulement au prix de cette sainteté et de nombreux sacrifices que peuvent se lever des personnages providentiels destinés, sous la motion de l’Esprit, à contrer la perversité du « nouvel ordre mondial » et de ses adeptes, afin de rétablir la paix, la santé, la justice et la vérité, selon la volonté de la Trinité Sainte.

Moi, Paul, qui aime et protège tous ceux qui contribuent à l’avènement du Royaume de Dieu sur cette Terre et prient le Père comme le Seigneur Jésus l’a enseigné aux hommes, préférablement dans une communion affectueuse avec la Vierge Marie, les saints, et toute la Cour céleste, je vous bénis.      

 Paul, Apôtre des nations

(1) « État profond, synonyme État souterrain : ensemble de personnes, généralement soutenues par des groupes d’intérêt, dont on suppose que les rôles clés au sein de l’État leur permettent d’influencer discrètement la politique gouvernementale ou de contrecarrer sa mise en œuvre » (Journal officiel du 01/07/2022. Avis divers. Texte n° 101. Commission d’enrichissement de la langue française. Vocabulaire des relations internationales (liste de termes, expressions et définitions adoptés).

(2) V. Message du 19 août 1990 de Vos frères dans la Foi, Un Souffle qui passe…, Tome 2.

(3) V. Message du 6 février 2022 de notre Seigneur Jésus-Christ.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.