Message du 22 septembre 2025 (I)
CE MESSAGE DATÉ DE SEPTEMBRE VIENT SEULEMENT D’OBTENIR L’AUTORISATION D’ÊTRE MIS SUR LE SITE. IL SERA SUIVI D’UN SECOND MESSAGE REÇU LE MÊME JOUR. ILS SERONT TOUS DEUX REMIS DANS LE BON ORDRE À LA FIN DE L’ANNÉE.
Mes chers enfants,
Combien il est difficile à certains d’entre vous de comprendre que la vraie liberté ne consiste pas à dire : « Je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux, avec qui je veux et comme je veux ! », car de telles paroles, vides de générosité et de tendresse (cf. Ep 4, 29. 32), n’augurent jamais rien de bon, surtout lorsqu’elles sortent de la bouche de dirigeants corrompus.
En effet, nombre de pays sont aujourd’hui gouvernés par des hommes et des femmes dangereux qui, plutôt que de veiller à la souveraineté de leur nation, trahissent celle-ci en faisant acte d’allégeance à l’oligarchie mondialiste, qui veut asservir les peuples, les priver de leur identité et de leurs biens, anéantir la foi chrétienne, et répandre ses erreurs dans le monde pour mieux le gouverner – et cela, dans la lignée idéologique de l’ancien communisme soviétique (1). Car, en vérité, mes petits, le danger ne vient plus de la Russie, qui, bienheureusement, s’est départie du communisme, mais de cette idéologie même que se sont appropriée les mondialistes.
C’est donc cette politique perverse et ceux qui tentent de vous l’imposer quoi qu’il en coûte qui doivent être combattus avec bravoure – particulièrement en Europe, et surtout en France – d’un côté, par des hommes politiques intègres, désireux de défendre la vraie liberté et la foi chrétienne, et, d’un autre côté, par vous, mes chers enfants, au moyen de toutes les armes que mon Église met à votre disposition : messes, prières, jeûnes, sacrifices, aumônes, etc. C’est à cette condition et seulement à cette condition que pourra advenir la période de paix mondiale annoncée par ma Mère à Fatima au début du siècle dernier.
L’oligarchie mondialiste est redoutable (2), mes enfants, parce qu’elle est composée de gens extrêmement puissants, corrompus par l’argent et assujettis, pour la plupart, à des sociétés plus ou moins secrètes, voire d’essence satanique. Leur pouvoir, qui s’exerce dans de nombreux domaines – la politique, la finance, l’économie, la santé, la défense, la morale, la religion, etc. – est tentaculaire, et ils agissent sans états d’âme, par esprit de domination, en usant de ruse, de chantage, de mensonges, de violence, d’emprisonnements et même d’assassinats pour parvenir à leurs fins. Ils me tiennent pour leur principal ennemi parce qu’ils œuvrent sous l’emprise du Diable. Leurs idées, inculquées aux populations par des moyens que je qualifierais de « terrorisme intellectuel », sont destinées à provoquer le chaos en sapant en profondeur les fondements mêmes de l’ordre social et d’une authentique liberté. En cela, elles s’opposent radicalement aux valeurs familiales et à la morale chrétienne, à l’identité sexuée, à la santé des populations, à la démocratie, à la propriété privée, à l’enseignement traditionnel, et aux valeurs évangéliques transmises par mon Église catholique, qu’ils aimeraient voir disparaître à tout jamais.
Les gouvernants qui suivent cette idéologie, soutenus opiniâtrement par la plupart des médias, qui leur sont inféodés, ne veulent pas le bien des nations qu’ils administrent mais leur absorption dans une nébuleuse mondiale soumise à un gouvernement central unique, d’essence totalitaire, comme en Chine. C’est là, mes petits, que le bât blesse, et c’est de là que vient aujourd’hui la vraie menace : celle d’une Europe fédérale créée par eux et reposant entre leurs mains ! Je vous en supplie, mes chers enfants, ne vous laissez pas endoctriner par leurs mensonges et leurs discours souvent séduisants, effrayer par leurs menaces ou leurs propos catastrophistes, ni même endormir par l’omniprésence d’une censure délibérément programmée qui ne cherche qu’à travestir l’actualité et à vous couper de la vérité lorsqu’elle n’est pas conforme à leurs plans ou à leurs goûts.
« Malheureux, ces gens qui déclarent bien ce qui est mal et mal ce qui est bien,
qui font des ténèbres la lumière et de la lumière les ténèbres,
qui rendent amer ce qui est doux et doux ce qui est amer !
Malheureux ceux qui se prennent pour des sages, ceux qui se croient intelligents ! »
(Is 5, 20-21)
Voilà pourquoi, je viens, mes petits, encore et encore à votre secours pour vous instruire par mes paroles.
Certains d’entre vous ne pourront, évidemment, s’empêcher de les mettre en doute, arguant qu’il n’est pas possible que moi, Jésus, je vous parle de politique ou de questions sanitaires. Si vous n’y croyez pas, croyez au moins à cause de la réalisation des prophéties contenues dans ces messages. Dès 2017, je vous parlais du virus qui allait se répandre à travers le monde, et vous mettais en garde contre l’action de dangereux ennemis (3). Puis, ces messages vous ont informé de la dangerosité des pseudo vaccins à ARNm (4), dont les effets secondaires continuent et continueront à faire des ravages dans les pays qui en feront usage – et cela, quoi qu’en disent les pseudos spécialistes qui n’ont cessé de soutenir cette meurtrière supercherie du fait de conflits d’intérêts ou de qualifications insuffisantes pour se prononcer sérieusement en ce domaine. C’est pourquoi je bénis les grands noms de la science dont la voix s’élève aujourd’hui pour proclamer courageusement la vérité, alors que tout est mis en œuvre par vos gouvernants – jusqu’à de nouvelles lois, et même des menaces ou davantage – pour leur clouer le bec. Je bénis les journalistes et les chercheurs de haut niveau qui ont eux aussi le courage de proclamer la vérité. Vous pouvez me croire, mes chers enfants, car l’heure est grave.
Avant de quitter cette Terre, je vous avais promis de ne pas vous laisser orphelins (cf. Jn 14, 18). C’est pourquoi, en ces temps de grande confusion où les puissances des ténèbres assaillent le monde, je vous envoie mon Esprit Saint – Esprit de Sagesse, de Science, d’Intelligence et de Conseil – non seulement pour vous assister dans votre vie spirituelle, mais aussi pour vous aider à discerner, à faire concrètement la part des choses et à éclairer votre jugement lorsqu’il s’agit de questions d’actualité aussi délicates ; car vous êtes, je vous l’affirme, à mille lieues d’en comprendre les enjeux à cause du lavage de cerveau que vous subissez en permanence par l’entremise des médias grand public. Invoquez l’Esprit Saint, mes petits, et laissez-vous inspirer par sa sagesse.
Sachez par exemple, que je m’inscris en faux contre les critiques acerbes et les propos mensongers que nombre de médias européens continuent d’imposer à leurs usagers (5) : d’une part, au sujet du président de la Russie, journellement diabolisé parce que tenu pour seul responsable des combats qui se poursuivent en Ukraine sans jamais mentionner la question du Donbass, et d’autre part, au sujet du président ukrainien, adulé, encensé et fort généreusement subventionné pour cette guerre, alors même que vous ne connaissez rien de ses agissements, de ses véritables objectifs ni de la gestion que lui et son entourage font de l’argent reçu. Comment pouvez-vous, mes enfants, être aussi naïfs ?
De même, le président des États-Unis d’Amérique est lui aussi, invariablement accusé – de pair avec son administration – de nuire à la démocratie et à la justice de son pays alors même qu’il édicte des réformes pour l’assainir, en sécuriser les frontières, et unir et protéger ses citoyens. En vérité, je vous le dis, mes petits : l’Amérique n’est plus aujourd’hui la nation qu’elle était lorsque son ancien président a quitté la Maison Blanche. Vous devez en prendre conscience. Y surgit au contraire aujourd’hui un louable désir d’ordre, d’assainissement et de paix visant à démanteler énergiquement la traîtrise de l’État profond, à dénoncer les multiples mensonges et erreurs des gouvernements précédents, et à tout mettre en œuvre pour anéantir durablement les foyers de corruption et de violence qui lui portent préjudice et sapent ses valeurs sociales, intellectuelles et morales : ces avancées, sachez-le, sont une bénédiction pour tous les Américains !
Le nouveau président des États-Unis, contrairement à la plupart des chefs d’État de l’Europe, où se trament, au sein de la Commission européenne, de la Cour européenne des droits de l’homme, du Parlement européen, de la Banque centrale européenne et aussi de l’OMS, des législations liberticides extrêmement dangereuses et la dislocation des identités nationales – a une parole directe qui peut, à juste titre, critiquer et défier (cf. Mt 5, 37) mais aussi recadrer ou exclure s’il y a péril en la demeure. Tel est bien le devoir d’un chef d’État digne de ce nom : veiller sur sa propre nation. Ceux qui le jugent injustement pourraient tout aussi bien m’accuser d’avoir manqué à la vertu de charité lorsque j’ai chassé les marchants du Temple (cf. Jn 2, 13-25) ou d’avoir eu des paroles xénophobes lorsque que j’ai affirmé n’avoir été envoyé qu’aux brebis perdues d’Israël (cf. Mt 15, 24).
La parole du président des États-Unis exprime, en effet, dans l’ensemble, l’amour et le respect qu’il a pour son pays et chacun de ses États, son désir de le protéger concrètement et efficacement, sa volonté d’y faire régner l’ordre moral et l’unité, et son souhait de le faire fructifier en de nombreux domaines. Il est louable, mes petits, de pratiquer le bien à l’égard de tous, à commencer par les siens : de bons parents ne veillent-ils point en priorité sur leurs propres enfants et ne s’efforcent-ils pas de les protéger des mauvaises fréquentations et de tout ce qui pourrait nuire à leur personne avant que de se préoccuper des enfants des autres ? Ne s’efforcent-ils point aussi de les éduquer et de les élever pour leur plus grand bonheur et celui de leur famille ? Doivent-ils en être appelés « dictateurs » pour autant ? Il n’est qu’à voir ce que deviennent les enfants qui n’ont pas été éduqués par de bons parents…
Et pourtant, loin de ne s’intéresser qu’à son propre pays, le président des États-Unis a aussi une parole forte qui en outrepasse les frontières pour œuvrer en faveur de la paix dans le monde, et il y réussit plutôt bien. Il arrive cependant que cette parole se contredise pour s’adapter à des situations d’urgence, aux besoins du moment ou simplement parce qu’il en a décidé ainsi, ce qui peut la rendre parfois déstabilisante, agaçante, voire choquante – surtout lorsqu’elle est sortie de son contexte – et donner lieu à des commentaires peu élogieux ou agressifs de la part de ses négateurs. Mais le but ultime de cette parole n’est-il pas qu’elle génère la paix en Amérique et entre les nations et qu’elle défende la vie ?
Un bon chef d’État, mes petits, se doit toujours de défendre et appliquer les valeurs inhérentes au christianisme s’il veut que je protège son pays. Quoiqu’elles se trouvent aujourd’hui fort contestées, ces valeurs – que je vous ai enseignées, et que vous rappellent mon Évangile – n’ont jamais nui à qui que ce soit, bien au contraire, car je suis votre Dieu, et mon désir est que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité (cf. 1 Tm 2, 4). Le président des États-Unis s’efforce aujourd’hui, d’en embrasser la plupart, et il a la hardiesse de parler de moi ouvertement, d’honorer les fêtes chrétiennes et les saints, de m’invoquer pour son pays et pour ses habitants, et d’inviter ces derniers à prier. Tous les hommes droits s’en réjouiront, les autres le critiqueront, et moi, je bénis en retour ce chef d’État et son peuple, que j’encourage, malgré sa grande disparité, à ouvrir les yeux sur tous les dangers auxquels était exposée l’Amérique lorsqu’elle était sous le joug d’un pouvoir corrompu qui engendrait la misère au mépris des lois (cf. Ps 94 [Vulg. 93], 20). Certains de ces dangers, malheureusement, existent toujours, tels des braises encore vivaces sous la cendre d’un feu de bois éteint.
Je vous bénis, mes chers enfants.
Jésus
(1) En 1917, année des apparitions de Fatima, la révolution russe conduit la Russie au renversement du régime tsariste, à la prise de pouvoir des bolcheviks et à l’installation du régime communiste fondé par Lénine. Elle deviendra en 1922 l’état fédéral le plus vaste du monde et prendra le nom d’U.R.S.S. C’est contre le régime communiste soviétique que la Vierge Marie a mis le monde en garde. Dans la Russie d’aujourd’hui – qui n’est plus l’U.R.S.S. depuis 1991 – ce régime n’est plus au pouvoir. Pourtant, dans sa lignée, est née l’idéologie mondialiste, d’essence totalitaire, qui est aujourd’hui, entre autres, celle de l’Union Européenne. Ce message de Notre-Seigneur nous dit une fois encore qu’elle représente un danger considérable pour l’Europe et pour le monde.
(2) V. Message du 27 juillet 2024 de notre Seigneur Jésus-Christ.
(3) V. Message du 4 juin 2017 de notre Seigneur Jésus-Christ.
(4) V. Message du 25 décembre 2020 de saint Jean-Marie Vianney ; Message du 13 mai 2021 de saint Paul, Apôtre de Jésus-Christ ; et Message du 8 septembre 2024 de notre Seigneur Jésus-Christ.
(5) V. Message du 15 août 2025 de notre Seigneur Jésus-Christ.
Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.