Message du 30 mai 2021





Mon fils,

Je te remercie d’avoir pensé à moi le jour de ma fête (1). Laisse ton cœur m’écouter mais sans créer de barrière à cause de tes doutes, qui sont, certes, une preuve d’humilité – et cela est fort louable – mais qui prennent parfois trop d’importance. Ils peuvent entraver notre échange dans la communion des saints, qui repose avant tout sur ta foi dans l’article du Credo qui en fait état (2).

Aujourd’hui, où l’Église fête la Trinité Sainte, je vais te parler de l’amour – non pas de celui qui est si galvaudé par les jeunes générations mais de l’amour véritable, authentique, qui vient du cœur, qui vient de Dieu. Je m’attarderai particulièrement sur l’amour de soi, qui est souvent si mal compris et si mal interprété.

Tu le sais, l’homme est un être « social » dans sa relation à lui-même comme dans sa relation à Dieu et aux autres. Sur le modèle de la Trinité Sainte, au sein de laquelle se déploie l’amour de perfection – ou, pourrait-on dire aussi, la perfection dans l’amour -, l’être humain aspirant à cette vertu est appelé à aimer Dieu, son Créateur et Père, à aimer le Fils et l’Esprit Saint, à s’aimer lui-même et à aimer son prochain comme lui-même (cf. Lv 19, 18 ; Mc 12, 30-31) en toute sincérité, toute liberté et toute pureté.

Aimer Dieu, son Créateur et Père, aimer le Fils et l’Esprit Saint, qu’est-ce à dire ?

La relation que l’homme est appelé à entretenir avec Dieu est une relation de révérence face à sa majesté. Depuis des temps immémoriaux, l’être humain a perçu sa toute-petitesse tout autant que sa finitude. En ouvrant les yeux sur l’harmonieux spectacle que lui offre chaque jour la Nature et sur l’immensité de l’univers, et en prenant conscience de son insignifiance et de la brièveté de sa vie, l’homme ne peut, s’il est humble, que se sentir infiniment faible et infiniment limité quoiqu’il occupe, en vérité, dans son environnement terrestre, la position la plus privilégiée (cf. Ps 8, 6-9).

Cependant, à la différence des animaux, sur lesquels Dieu a voulu que l’humain dominât (cf. Gn 1, 28) – cela doit être rappelé avec force en ces temps de confusion des genres -, il a été donné à tout homme, dès sa conception, la capacité d’accéder à l’idée d’une Intelligence supérieure, d’une Toute-puissance, un peu comme un Horloger de génie, qui a créé l’univers tout entier et dont la dimension le dépasse : l’idée de Dieu, du Dieu unique. Et alors que l’homme, victime des conséquences de la Chute originelle, tournait en rond dans la matière comme un poisson dans son bocal et adorait des idoles, ce Dieu lui-même a voulu se révéler à lui. C’est aux Hébreux tout spécialement que le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob (cf. Ex 3, 15) s’est fait connaître concrètement par l’intermédiaire de Moïse accueillant la première théophanie (3) dans l’épisode du Buisson ardent (cf. Ex 3, 1-6). Mais alors que ce peuple préférait s’abstenir respectueusement de prononcer le nom de Dieu, Dieu a envoyé sur Terre son Fils unique, notre Seigneur Jésus-Christ, deuxième Personne de la Trinité Sainte, pour faire connaître à tous les hommes le nom d’« Abba » (cf. Mc 14, 36 ; Jn 17, 26 ; Rm 8, 15 ; Ga 4, 1-7) – c’est-à-dire « Père » – et leur révéler non seulement sa bonté et sa miséricorde mais aussi son visage (cf. Jn 14, 9).

Au-delà de cette révérence, tout homme est également appelé à dire à Dieu, son Père, son amour et sa confiance en l’invoquant par la prière collective du Notre Père…, où chacun s’adresse à Dieu au nom de tous. Cette prière a une importance capitale dans la vie chrétienne car elle est la seule supplique que le Fils de Dieu lui-même ait enseignée, au cours de sa vie terrestre, à l’humanité souffrante, et qui synthétise toutes les prières que l’homme peut adresser à Dieu.

Outre cela, tu sais, mon fils, que chaque fois qu’un être humain s’émerveille, comme il t’arrive si souvent de le faire, le cœur empli d’amour et de reconnaissance envers Dieu, devant le fonctionnement de la Nature – de l’infiniment petit à l’infiniment grand -, devant un paysage, un arbre, une fleur, un brin d’herbe, un animal, un chant d’oiseau, ou chaque fois qu’il s’extasie sur la mécanique du corps humain et sur ses merveilleuses possibilités en laissant jaillir du tréfonds de son âme un « Merci, mon Dieu, pour toutes ces merveilles ! » à l’adresse du Père du Ciel, ou un « Seigneur je te rends grâce pour ta bonté ! », « Seigneur, je t’aime ! », « Magnifique est le Seigneur ! », Dieu se trouve touché par cette manière si spontanée de l’interpeller et de le louer. Lorsque j’étais sur cette Terre, j’aimais beaucoup m’adresser ainsi à lui (4). C’est pourquoi j’encourage chacun à prendre cette habitude à tout moment de la journée.

Il y a Dieu le Créateur et Père, et il y a aussi Dieu le Fils, notre Seigneur Jésus-Christ, que tout homme devrait aimer infiniment parce qu’il est venu sur cette Terre pour lui offrir le salut et l’entraîner à sa suite dans la Vie Éternelle. Conçu de l’Esprit Saint, né de la Vierge Marie et élevé par elle et par son père d’adoption, Joseph, il a donné, dès son enfance, l’exemple d’une vie pieuse et sainte en tout point (cf. Lc 2, 40. 46-50). Consubstantiel au Père (5), avec qui il est un (cf. Jn 10, 30), il a montré une charité sans faille envers les hommes, qu’il a enseignés à aimer Dieu et à aimer leur prochain, et il est allé jusqu’à immoler son humanité sur la Croix pour racheter le genre humain, victime des séquelles du Péché des origines. Par le don de son Corps et de son Sang, il s’est fait Pain de Vie et nourriture d’Éternité (cf. Jn 6, 35. 54) pour tous les hommes de bonne volonté. Ressuscité des morts et remonté auprès du Père (cf. Lc 24, 50-51), il a envoyé aux hommes, comme il l’avait promis (cf. Jn 15, 26), l’Esprit Saint, appelé « Paraclet », troisième Personne de la Trinité Sainte, qui a parlé par les prophètes et continue de guider les hommes dans la vérité tout entière (cf. Ac 2, 1-4).

L’Esprit Saint est, au sein de la Trinité, la Personne qui à la fois procède du Père et du Fils et les soude dans la plus parfaite sagesse, la plus parfaite intelligence et le plus parfait amour. Il est pure expression de Dieu, et donc Dieu lui-même. C’est pourquoi il doit être présent à chaque instant dans la vie de tout homme vivant sur la Terre comme il est présent dans la vie de tout habitant du Ciel.

Il doit être présent à travers Les Écritures Saintes pour éclairer le lecteur de sa science et de sa lumière, et lui faire découvrir, en toute intelligence et sagesse, la Révélation de Dieu se communiquant aux Hébreux dans la trame de leur histoire, à travers la Loi, les Prophètes et les Commandements.

Il doit aussi être présent, chronologiquement, à travers l’enseignement de notre Seigneur Jésus-Christ, Verbe de Dieu, venu sur cette Terre pour faire connaître le Dieu un et trine à tous les hommes (cf. Jn 17, 26) et les appeler, grâce à son Évangile, à prendre leur croix et à le suivre (cf. Mt 16, 24 ; Mc 8, 34 ; Lc 9, 23) avec amour et confiance, et en respectant les Commandements pour plaire au Père du Ciel (cf. 1 Jn 5, 3).

Il doit être présent dans la communion de la sainte Église à travers les écrits de ses Pères et des saints dûment canonisés par elle, Corps Mystique du Christ, née du sacrifice saint et parfait de notre Seigneur Jésus sur la Croix, de son Cœur transpercé, et alimentée par le sang de ses martyrs et la charité de ses fidèles. C’est ainsi qu’il convient de comprendre, mon fils, la sainteté de l’Église, sans s’attarder sur les dérives et les imperfections de certains de ses ministres ni sur les coups de boutoir que lui assènent encore le Démon et ses sbires.

Pareillement, il doit être présent chaque fois qu’un homme dont la vie résonne avec celle du Christ Jésus pose un acte d’amour vrai auprès d’un de ses frères (cf. Mt 25, 40), se réjouit avec ceux qui sont en liesse ou souffre et pleure avec ceux qui sont dans la peine (cf. Rm 12, 15). Tout cela, mon fils, plaît infiniment à notre Seigneur Jésus, qui veut que son Esprit soit sur chacun de vous pour vous faire porter du fruit (cf. Jn 15, 8. 16) et vous guider dans la vérité tout entière (cf. Jn 16, 13).

Enfin, il doit être présent pour transformer l’âme, le cœur et le corps de tout homme, les fortifier et doter chacun de piété, de discernement et de force afin qu’il apprenne à connaître ce qu’est une vie droite, à s’éloigner des tentations – ou à les repousser puisqu’elles sont sources de péché – et à aimer ses frères chastement, profondément et charitablement, à la façon dont notre Seigneur Jésus lui-même a aimé les siens lorsqu’il était sur cette Terre. À la façon dont il a aimé le Père, qu’il vous a enseigné à prier (cf. Mt 6, 9-13), et l’Esprit Saint, qu’il vous a envoyé à la Pentecôte. À la façon dont il a aimé ses Apôtres, et tout particulièrement l’Apôtre Jean, son disciple bien-aimé, et l’Apôtre Pierre, à qui il a confié la direction de son Église et les clés du Royaume des Cieux (cf. Mt 16, 18-19). À la façon dont il a aimé tous les hommes qui ont sollicité son aide en leur prodiguant la guérison et la nourriture dont leur âme avait besoin, comme en témoigne le récit des œuvres du Christ rapporté à Jean le Précurseur dans sa prison (cf. Mt 11, 5).

Je t’invite donc, mon cher fils, ainsi que tous tes frères, à louer à chaque instant la Trinité Sainte en action de grâce pour la Création et pour son intarissable munificence (6), et à la prier afin qu’elle ne cesse de combler l’homme de ses dons. Tu méditeras aussi sur la grandeur et la puissance d’un Dieu – Père, Fils et Esprit Saint – qui connaît tout, qui peut tout et qui existe depuis toute éternité. En effet, à la différence des idoles, qui ne sont que créations humaines éphémères, le Dieu trinitaire, lui, a été, est et sera pour la suite des âges. À la différence des faux dieux, comme l’a montré Élie au Premier Livre des Rois, c’est Yahvé qui est Dieu (cf. 1 R 18, 20-40), il n’y en a pas d’autre, et personne n’est semblable à lui (cf. Is 46, 9). Enfin à la différence des fables et des commandements d’hommes, les Commandements de Dieu conduisent l’homme à la Vérité tout entière (cf. Tt 1, 14) et à la Vie Éternelle auprès de lui.

S’aimer soi-même, qu’est-ce à dire ?

Eh bien ! il s’agit d’abord, pour chaque être humain, d’accueillir en lui-même la vie donnée par Dieu quelles qu’en soient les circonstances, et d’y faire fructifier tous les talents confiés par Dieu, en vivant chaque instant de cette vie comme si c’était le dernier, c’est-à-dire dans une authentique communion avec le Père du Ciel – ce qui nécessite une foi solide, une confiance à toute épreuve dans les bontés et les intentions de ce même Dieu et Père de tous, et, de là, un réel abandon qui n’exclue point une part de discernement ; car plus une âme s’efforce de se rapprocher de Dieu, plus le Diable essaie de l’en éloigner et de la détourner de l’enseignement de son Église et de l’obéissance qui lui est due.

Tu noteras, mon fils, que ce lien privilégié avec le Père ne peut s’acquérir, dans la communion de l’Esprit Saint, qu’à travers le Fils, qui a dit : « Nul ne vient au Père sinon par moi » (Jn 14, 6), ou encore : « Qui m’a vu a vu le Père » (Jn 14, 9). Et tu noteras également que pour se rapprocher du Fils, la voie la plus droite mais aussi la plus sûre – celle que je recommande de prendre – est celle de la dévotion à la bonne Vierge Marie. Car lorsque Jésus, du haut de sa Croix, a dit à Marie, sa Mère, en désignant le disciple Jean : « Femme, voici ton Fils » (Jn 19, 26), et à ce même disciple : « Voici ta Mère » (Jn 19, 27), mission a été donnée par le Fils de Dieu à l’Épouse de l’Esprit Saint de veiller sur chacun de nous. En effet, en tant qu’enfants de Dieu par notre Baptême, nous sommes devenus aussi ses enfants, et, comme elle a veillé sur Jésus dès le premier jour, elle est aussi la Bonne Mère qui veille sur nous. Parallèlement, consigne a également été donnée par Jésus à chacun de nous, fils du même Père, de la choisir pour Mère, ce qui signifie la chérir, l’honorer, lui obéir en tout et la laisser nous éduquer comme elle a éduqué l’Enfant Dieu.

S’aimer soi-même, tu l’as compris, ne consiste donc pas à rester enfermé dans un cercle d’égoïsme, d’autosatisfaction ou de repli sur soi. C’est vivre dans la perfection d’un amour de soi-même qui, dès le principe, accueille pleinement la vie donnée par Dieu quelles qu’en soient les circonstances; qui met tout en œuvre pour vivre cette vie avec le respect qu’elle mérite – c’est-à-dire en état de grâce, éloigné du péché et de la corruption -, et qui en savoure chaque instant dans le présent avec un cœur empli de gratitude à l’égard du Père du Ciel, et plein de félicité et d’amour. S’aimer soi-même, c’est s’aimer comme s’aime chaque Personne de la Trinité Sainte, c’est-à-dire dans une plénitude qui ne peut être ainsi qualifiée que parce qu’elle ne reste pas enfermée dans l’étroitesse d’une relation centrée sur elle-même.

S’aimer soi-même, c’est s’aimer au-delà de tout ce qui peut paraître manquer d’harmonie, d’abord dans son apparence extérieure, tant par rapport au jugement des autres que par rapport à son propre jugement. Car le rayonnement de la charité et la beauté d’une âme vont bien au-delà d’une simple apparence corporelle. Regarde, mon fils, le Christ Jésus à l’issue de sa Crucifixion : lui, le plus beau des enfants des hommes (cf. Ps 45 [Vulg. 44], 3) a subi de telles tortures que son apparence n’était plus celle d’un homme (cf. Is 52, 14). Pourtant, après sa mort, le centurion et les hommes qui l’accompagnaient n’ont-ils pas vu en lui le Fils de Dieu (cf. Mt 27, 54) ? Et les disciples d’Emmaüs n’ont-ils pas vu ce même Jésus disparaître à leurs yeux au moment de la fraction du pain (cf. Lc 24, 30-31) ? Il n’est donc pas raisonnable de s’arrêter à de simples apparences corporelles ni de juger quelqu’un à partir de cela.

S’aimer soi-même, c’est aussi s’aimer malgré un état d’imperfection qui peut générer la honte ou le dégoût de soi. Car, dit le psalmiste, même si « pécheur ma mère m’a conçu » (Ps 51 [Vulg. 50], 7) et même si « ma faute est devant moi sans relâche » (Ps 51 [Vulg. 50], 5), ce qui plaît à Dieu, ce ne sont pas les sacrifices d’animaux mais « un esprit brisé », « un cœur brisé, broyé » (Ps 51 [Vulg. 50], 19), c’est-à-dire une authentique humilité qui conduise à un sincère repentir de ses fautes, à la confession auprès d’un prêtre de l’Église catholique, et de là, à la paix de l’âme et au bonheur des retrouvailles avec le Père, comme dans la délicieuse parabole de l’Enfant prodigue, racontée par notre Seigneur Jésus (cf. Lc 15, 11-32). Voilà, mon cher fils, ce qu’est s’aimer soi-même. Et je prie Dieu depuis le Ciel que tous les baptisés éprouvent le désir de s’engager sur ce chemin de perfection de l’amour de soi en tant que ses enfants, avec un cœur qui vibre au diapason de celui de son Fils, notre Seigneur Jésus ; un cœur qui aime la vie et qui la respecte dans tous ses aspects, comme l’a toujours fait la Sainte Famille.

Aimer son prochain, qu’est-ce à dire ?

Aimer son prochain découle de l’amour de soi-même. C’est désirer pour les autres quels qu’ils soient, et jusqu’à vos propres ennemis (cf. Mt 5, 44), les mêmes bienfaits que ceux que vous pouvez désirer pour vous-mêmes. Le terme « ennemi » utilisé ici signifie toute personne qui ne vous aime pas ou qui vous veut du mal. Car les chrétiens ne doivent nourrir de mauvais sentiments contre personne, et ne souhaiter que du bien à ceux qui ne les aiment pas, ne les apprécient pas ou n’éveillent pas leur sympathie.

Aimer son prochain, c’est s’efforcer de toujours voir chez lui les qualités plutôt que les défauts, et c’est savoir lui pardonner chaque fois qu’il vous a offensés afin que votre cœur ne vous condamne pas. Ainsi, dès lors que votre cœur ne vous condamne pas, c’est que vous avez devant Dieu pleine assurance parce que vous faites ce qui lui est agréable : il demeurera en vous et vous en lui (cf. 1 Jn 3, 21-24).

En tant que ton saint Patron, je te remercie encore, au nom de tous les saints que tu aimes et de notre Seigneur Jésus lui-même, Chef d’orchestre de toute cette œuvre (7), pour ta collaboration à celle-ci, même si tu ne t’en estimes pas digne. Grâce à sa diffusion sur Internet, elle commence à porter de nombreux fruits de conversion, et j’encourage tous ceux qui lisent prioritairement les derniers messages en raison de leur actualité et de l’importance des mises en garde qu’ils contiennent, à lire aussi ceux des mois et des années antérieurs. S’ils sont avides de spiritualité, ils y trouveront certainement ce qu’ils cherchent, sans omettre, bien sûr, de se référer chaque fois aux passages cités des Écritures Saintes. Je les encourage aussi à faire connaître à leurs amis et à leurs connaissances la référence du site de ces messages.

La lumière des chrétiens doit briller devant les hommes pour que ceux-ci voient leurs bonnes œuvres, se convertissent, et glorifient le Père, qui est dans les Cieux (cf. Mt 5, 16). En ces temps où règnent la peur, l’incertitude, la division, le paganisme, et où, dans les églises, la prédication manque trop souvent de conviction et se complaît à stagner dans une horizontalité désespérante, que ces messages soient comme des lampadaires qui brillent pour tous ceux qui auront besoin d’être ramenés au Bercail de notre sainte Mère, l’Église catholique.

Je te bénis.

           + Filippo Neri, prêtre

(1) Saint Philippe Néri (1515-1595) est fêté le 26 mai.

(2) Cf. Catéchisme de l’Église catholique, nn. 946-962.

(3) Théophanie : mot que l’on rencontre chez les Pères grecs pour désigner les manifestations de Dieu, à commencer par les apparitions divines évoquées dans L’Ancien Testament.

(4) Il s’agit d’oraisons jaculatoires, courtes salutations ou prières adressées à Dieu au milieu des activités quotidiennes comme un cri du cœur s’élançant vers lui.

(5) Consubstantialité : unité et identité de substance des Personnes de la Sainte Trinité.

(6) Munificence : grandeur dans la générosité, la libéralité. Terme classiquement appliqué à Dieu pour  sa magnificence et ses largesses.

(7) V. Message du 13 septembre 2018 de saint Philippe Néri, Un Souffle qui passe…, Tome 3.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.