Frères bien-aimés,

Moi Paul, qui reste particulièrement attentif à l’avenir des nations de la Terre, je continue par ce message, en communion avec notre Maître et Seigneur Jésus-Christ, à vous informer des dangers susceptibles de détruire vos sociétés afin que vous ne puissiez pas dire, à la suite du psalmiste : « Pourquoi, Seigneur, es-tu si loin ? Pourquoi te cacher aux jours d’angoisse ? » (Ps 10 [Vulg. 9B], 1). Je parle ici principalement de l’Occident et des pays d’Europe dont les gouvernements se veulent démocratiques tout en se permettant pourtant de graves dérives totalitaires.

Ces dangers ne doivent pas être abordés dans un esprit superstitieux, catastrophiste ni même fataliste, mais considérés comme de possibles conséquences des politiques machiavéliques menées par l’oligarchie mondialiste et ses sbires, que ces messages appellent « les méchants », et qui veulent prendre la place de Dieu pour refaire la Création à leur manière propre. Si aujourd’hui je viens à nouveau vous mettre en garde, frères, c’est pour toucher vos cœurs, les exhorter à une véritable réflexion, et vous presser à un regain de prières, d’actes de charité, de sacrifices et d’aumônes dans un esprit de sainteté afin qu’avec Dieu vous fassiez des prouesses, que Dieu vous sauve des œuvres du Diable et qu’il piétine vos oppresseurs (cf. Ps 60 [Vulg. 59], 14). Car c’est de la perméabilité de votre âme aux dons de l’Esprit Saint et de la sainteté même de votre vie que dépend l’avenir du monde.

Le danger principal qui menace aujourd’hui gravement l’Occident – et que des rumeurs permanentes de guerre et la peur qu’elles engendrent tendent aujourd’hui à faire plus ou moins oublier – est le contrôle progressif du cerveau humain par certaines technologies de pointe, dont une gestion éthiquement abusive de l’intelligence artificielle.

À ce sujet, je puis vous dire dès à présent, frères, qu’une guerre – fût-elle mondiale – ne serait, sur le long terme, que vétille pour la race humaine en regard des manipulations réalisées par ce biais. Les guerres, en effet, font généralement payer aux belligérants de lourds tributs cependant qu’avec le temps, les sociétés qu’elles déchirent se reforment et parviennent à retrouver leur équilibre. Mais les agissements diaboliques dont il est ici question consistent, en vérité, à porter directement atteinte à l’intégrité même de l’homme et de la femme et à leur liberté. Il s’agit, en effet, non seulement d’introduire des éléments étrangers dans l’organisme humain pour y court-circuiter et y modifier les lois de la nature voulues par notre Créateur et Père, mais aussi de répercuter ces modifications à travers les générations futures. Cette menace, je vous l’affirme, frères bien-aimés, est sans précédent, et elle ne doit pas être considérée à la légère.

À vrai dire, il en est de l’intelligence artificielle comme de toute découverte capitale : son potentiel utilisé pour le bien peut être une immense richesse, mais utilisé pour le mal, il peut être extrêmement destructeur – et c’est là, une fois encore, que le bât blesse ! Alors que des scientifiques de très haut niveau travaillent dur depuis des années pour faire avancer la recherche dans le domaine de la robotique, de l’intelligence artificielle et des nanoparticules, visant – pour n’en prendre qu’un exemple – un savoir-faire plein de promesses dans le domaine de la santé, les « méchants », de leur côté, tout en s’autoproclamant bienfaiteurs de l’humanité, travaillent d’arrache-pied à faire dévier ces recherches vers un moyen de contrôler les cerveaux, et même de s’annexer les corps tout entiers. Leur but ? Servir le Prince des ténèbres en privant les enfants de Dieu de leur liberté pour les transformer en de vulgaires robots, et régner despotiquement sur le monde. Eh oui, frères bien-aimés, ce qui n’était jusqu’ici que science-fiction pourrait bien devenir réalité, car ces antichrists mettront tout en œuvre pour parvenir à leurs fins par le truchement des algorithmes de l’intelligence artificielle, d’un système de puçage des individus, et d’injections de nanoparticules fabriquées. C’est pourquoi vous devez rester vigilants.

En vérité, ils ont déjà commencé leurs expérimentations. Mettant mensongèrement en avant la santé de l’humanité comme l’une de leurs priorités, ils ont eu l’audace de faire fabriquer un virus de mains humaines pour terroriser les populations, les malmener, et imposer ensuite au monde entier des injections toxiques contenant ce type de nanoparticules. Plus dangereux que le virus lui-même, ces prétendus vaccins peuvent être considérés comme un coup d’essai magistral de la part des mondialistes.

Dans l’hypothèse où aucun frein ne serait mis à leur folie dominatrice et meurtrière – tant par des lois éthiques restrictives de la part de gouvernants responsables que par la force de vos prières et de vos sacrifices, et même par des procédures d’excommunication engagées par l’Église –, ces apprentis sorciers pourraient utiliser, dans un avenir proche, l’intelligence artificielle pour prendre le contrôle sur les êtres humains et sur leur vie. Qu’est-ce à dire ?

Dans un premier temps, l’intelligence artificielle vous serait présentée par les autorités officielles de santé comme un moyen de parvenir à une analyse extrêmement précise du fonctionnement de votre organisme, de déceler la menace de certaines maladies avant même qu’elles ne s’y manifestent afin de pouvoir mieux les prévenir, et aussi de gérer nombre de pathologies – voire de handicaps – et de soulager la douleur en agissant directement sur votre cerveau. Quel être humain souffrant pourrait résister à de pareilles propositions ?

Cependant, vous devez savoir, frères, que si de telles avancées semblent tout à fait légitimes, elles ne seraient, en vérité, que l’arbre qui cache la forêt puisque nos prétendus bienfaiteurs de l’humanité n’auront aucun scrupule à outrepasser tous les principes de base de l’éthique, de la morale et de la métaphysique pour offrir aussi à l’homme un ensemble de ressources de leur propre composition : une intelligence sur mesure, un corps et un psychisme sur mesure, des performances sur mesure, des sensations voluptueuses sur mesure, et des rêves et une spiritualité sur mesure dans un univers virtuel (1) irrésistible ; pour offrir aussi aux personnes qui veulent des enfants la possibilité de les programmer à leur demande et sur mesure – c’est-à-dire avec toutes les caractéristiques souhaitées –, la sexualité étant alors, conformément à leur idéologie, séparée de la reproduction et réduite à une simple source de plaisir.

Dans cette même logique, les méchants qui gouvernent le monde partageraient généreusement avec leurs sbires et une caste de « nantis » qu’ils auraient autorisée à les rejoindre moyennant des sommes colossales, le privilège de vivre jusqu’à un âge avancé sans les inconvénients majeurs du vieillissement, leur ultime ambition étant de pouvoir accéder à l’immortalité sur cette Terre (2) ! Enfin, dans le but de réduire la population et de réguler la démographie sur toute la planète, ils s’arrogeraient aussi le droit non seulement de contrôler les pensées et les actes de tous les individus préalablement « pucés » et réduits à leur merci, mais aussi celui de leur autoriser une descendance ou de les éliminer tout bonnement selon leur bon vouloir.

Vous l’avez compris, frères bien-aimés, l’intelligence artificielle, quelque extraordinaire qu’elle puisse être, ne doit jamais priver les êtres humains de leur propre liberté, de leur propre discernement et de leur propre choix, ni même être utilisée pour les doter, aux dépens de leurs frères, de privilèges ou de capacités acquis artificiellement grâce à l’argent et au pouvoir. 

Évidemment, plus ces messages vous semblent invraisemblables ou extravagants, plus vous avez tendance à les juger défavorablement ou à les rejeter en bloc. Pourtant, vous qui vous êtes laissé, il n’y a pas si longtemps, terroriser par le fameux virus et le lourd bilan des décès quotidiens annoncés par les médias, n’auriez-vous pas dû nous accorder toute votre confiance puisqu’il est aujourd’hui avéré qu’il n’y a pas eu plus de morts que pour une simple grippe ? Vous qui vous êtes laissé museler, tester, confiner et isoler de vos proches, n’êtes-vous pas aujourd’hui obligés de reconnaître qu’en vérité, de telles mesures ont été totalement inappropriées, disproportionnées et psychologiquement déstabilisantes ? Et vous, qui avez – quelle qu’en soit la raison – cédé à l’incitation vaccinale – n’avez-vous pas encore compris que vous avez été abusés, et que votre santé risque encore d’en payer le prix ?

Moi, Paul, je sais combien ces messages ont pu déranger au moment de la crise sanitaire et combien ils ont été dénigrés après qu’ils vous ont mis en garde contre les injections. Cet avertissement, parce qu’il était aux antipodes du « politiquement correct » et des exhortations de nombre de médecins et même d’ecclésiastiques n’ayant aucune compétence dans ce domaine, a, en effet, été jugé par nombre d’entre vous comme irrecevable et même criminel ! Des plaintes sont même remontées jusqu’à l’évêque Gilbert, qui, encore en fonction, accordait l’imprimatur à chacun de ces messages qui avait obtenu l’aval de son censeur pour être mis en ligne (3).

Néanmoins, vous pouvez aujourd’hui constater que tout ce que le Christ Jésus, vos amis du Ciel et moi-même vous avons révélé concernant cette crise et la toxicité des injections à ARNm – c’est-à-dire tout ce que certains d’entre vous ont considéré comme relevant de la paranoïa ou même de la folie – est aujourd’hui parfaitement avéré dans les publications scientifiques sérieuses. Et pour cause ! puisque c’est au nom de l’Esprit Saint – Esprit d’Intelligence, de Science, de Sagesse et de Conseil – que nous nous sommes adressés à vous.

Dieu a envoyé aux hommes son Fils pour faire d’eux non point des créatures de ténèbres comme l’est cette oligarchie d’antichrists, mais de lumière, et leur donner, par son enseignement, par son Eucharistie et par sa grâce, les moyens et la force de transformer spirituellement leur pensée et de rayonner sur le monde. C’est pourquoi je vous exhorte une fois encore à vous débarrasser de l’homme ancien, corrompu et aliéné par les convoitises qui l’entraînent dans l’erreur et à revêtir l’Homme nouveau. Je vous exhorte une fois encore à devenir membres les uns des autres (cf. Ep 4, 22-25) – c’est-à-dire membres du Corps Mystique du Christ qu’est son Église – et enfants de Dieu sans tache au milieu de cette génération tortueuse et pervertie. Car Dieu vous veut brillants comme des astres dans l’univers (cf. Ph 2, 15) et authentiques propagateurs de la lumière de l’Évangile et de sa vérité, qui seule peut repousser le Diable, les ténèbres et les éventuelles dérives de la recherche scientifique.

Je vous rappelle, frères, que si vous ne pouviez point influer sur le cœur de Dieu – et donc sur l’avenir du monde et de la race humaine – par vos prières et la sainteté de vos vies, ces messages ne seraient d’aucune utilité puisque tout serait déjà joué d’avance. Gardez donc confiance en votre Père du Ciel malgré le climat incertain qui règne en ces temps de trouble dans plusieurs pays du monde. N’entrez pas dans le jeu des prophètes de malheur et ne vous laissez pas terroriser par leurs divagations. Continuez de prier pour la paix sur la Terre, et mettez votre espoir et votre confiance dans le Christ Jésus, votre phare. Alors, forts de l’assistance de l’Esprit Saint, de votre amour pour la Vierge Marie, notre bonne Mère, et de l’aide des anges et de vos frères les saints, vous avancerez sereinement dans la lumière. N’ayez pas peur !

En tant que votre frère en Jésus-Christ, je vous exhorte enfin à faire connaître ces messages pour le monde d’aujourd’hui, et particulièrement le Tome III, qui est sorti récemment sur papier et doit être diffusé. Je vous bénis de tout cœur.

+ Paul, Apôtre des nations

(1) V. Message du 7 octobre 1983 (I) de vos Frères dans la Vérité, Un Souffle qui passe…, Tome I.

(2) V. Message du 14 novembre 2018 et Message du 13 mai 2021 de saint Paul, Apôtre de Jésus-Christ.

(3) Comme indiqué au début du Tome III de ces messages, l’imprimatur ne signifie pas que l’évêque soit toujours d’accord sur des points qui ne concernent ni la foi ni les mœurs de l’Église et de la Tradition.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.