Bien chers frères,

Il serait temps que l’homme prenne conscience des devoirs et responsabilités qui lui incombent vis-à-vis de Dieu, son Créateur et Maître, vis-à-vis de ses frères, vis-à-vis de lui-même, et aussi vis-à-vis de la planète Terre, sur laquelle il habite. En effet, en commettant le mal à grande échelle et en entretenant des pensées mauvaises et malsaines, non seulement il nuit à ses frères et se nuit à lui-même, mais il contribue, sans le savoir, au déclenchement de certaines manifestations sismiques et climatiques, qui provoquent fatalement des drames parmi les populations. Et ce n’est pas un hasard si ces phénomènes ne cessent aujourd’hui de se multiplier et de s’amplifier…

Quoi qu’en disent les athées, la Création du monde est l’œuvre du Dieu unique (Gn 1, 1-31), et les innombrables merveilles que l’univers vous donne de découvrir à travers la lunette de vos télescopes ne peuvent que corroborer cette affirmation et vous porter à dire, à la suite de Paul, puis du psalmiste : « Quelle profondeur dans la richesse, la sagesse et la connaissance de Dieu ! » (Rm 11, 33), « savoir prodigieux qui me dépasse, hauteur que je ne puis atteindre. » (Ps 139 [Vulg. 138], 6)

Après avoir créé le monde, le Seigneur Dieu créa l’homme, lui confia la charge de toutes les autres créatures (cf. Gn 1, 26. 28) et lui donna les fruits de la terre pour nourriture (cf. Gn 1, 29). À la suite de la Chute, qui affecta la Création tout entière (cf. Rm 8, 20-22), l’homme dut continuer d’accomplir cette tâche à la sueur de son front à partir d’un sol maudit, jonché d’épines et de chardons (cf. Gn 3, 18), dont il se vit contraint d’exploiter les ressources pour assurer sa subsistance. Pourtant, la Nature, aussi hostile qu’elle soit, s’est toujours révélée être l’objet premier de son ravissement, réservoir inépuisable de matières premières, de nourriture et de remèdes, offrant généreusement ses bienfaits à qui l’aime et en respecte l’équilibre biologique.

Cependant, si toutes les espèces végétales et animales – qui sont les agents mêmes de cet équilibre – contribuent toujours, chacune pour sa part, à sa régulation, l’être humain, en revanche, à cause d’un exercice pernicieux de son libre-arbitre, s’est révélé être, depuis la Chute, un agent possible de destruction qui, sous l’influence du Diable et des puissances des ténèbres, a développé une appétence irrépressible pour le pouvoir, le profit et les plaisirs de la chair.

Aujourd’hui, frères, où les progrès de la science pourraient vous permettre de tirer parti de la Nature et d’en faire fructifier les ressources sans lui porter préjudice, cette dernière se voit au contraire maltraitée, saccagée, exploitée, et manipulée au moyen des biotechnologies à des fins pécuniaires mais aussi carrément eugéniques lorsque ces manipulations sont à l’origine de pathologies susceptibles d’entraîner la mort chez les êtres humains.

Il n’est qu’à voir, depuis des décennies, les effets de ce que vous appelez la « malbouffe » (1) sur les populations de vos pays dits civilisés : surpoids, diabète, maladies cardio-vasculaires, neurologiques, cancers, etc. Ajoutez à cela une campagne de terreur rondement menée par vos politiques et l’arrivée sur le marché d’un prétendu « vaccin », immédiatement plébiscité sans les précautions requises ni le recul nécessaire sur les effets secondaires, et l’affaire est dans le sac ! Reste à vous à présent d’en constater les retombées funestes en outrepassant la censure médiatique qui sévit encore dans ce pays…

C’est pourquoi nous ne pouvons, chers frères, que continuer de vous mettre en garde contre toutes les mesures prétendument sanitaires initiées par certains de vos gouvernants, contre les solutions pernicieuses impliquant directement de grands laboratoires pharmaceutiques, et contre les abus scandaleux de l’industrie agro-alimentaire.

Il n’est qu’à voir aussi comment sont aujourd’hui écartés et mis au pilori, voire interdits, nombre de remèdes naturels ou bon marché qui pourraient suffire à soigner des maladies même très graves pour lesquelles votre médecine occidentale, pervertie par des conflits d’intérêts, préfère avoir recours à des « vaccins » ou des traitements lourds : n’est-ce pas, là encore, chers frères, une aubaine incontestable pour certains laboratoires pharmaceutiques et leurs acolytes, qui réalisent, sur le dos des patients, de monstrueux profits grâce à des traitements affreusement onéreux et, pour beaucoup, peu efficaces et non dépourvus de toxicité, y compris pour l’environnement.   

Cependant, au-delà des agissements des êtres humains, il est un autre élément, souvent oublié mais fondamental, susceptible de nuire au précieux équilibre de votre planète : ce sont les pensées de l’homme lui-même avec son égoïsme, sa méchanceté, sa convoitise, sa perversité, sa jalousie, son impureté, ses mensonges, et son désir de prendre la place de Dieu pour contrôler la Terre, ses espèces végétales et animales, et, bien évidemment, l’humanité entière – c’est-à-dire le chef d’œuvre que Dieu a fait de ses mains, et dont il a vu que cela était très bon (cf. Gn 1, 31).  

Or, vous devez savoir, chers frères, que la Terre forme, avec le cosmos, un immense système parfaitement harmonieux d’énergies vibratoires, où l’homme peut exercer une influence des plus considérables. Car ce qui différencie l’homme des autres créatures terrestres, c’est que ce dernier, créé à l’image et selon la ressemblance de Dieu (cf. Gn 1, 26-27), a été doté par lui d’une intelligence et d’un libre arbitre qui lui confèrent le pouvoir de donner la vie, d’inventer, de créer, mais aussi, malheureusement, de manipuler, de détériorer, voire de détruire, non seulement par ses actes mais aussi par la force même de son esprit, tout ce qui est autour de lui, et jusqu’à ses propres congénères.

En effet, lorsque ses pensées sont nobles et charitables et ses prières sincères, elles peuvent influer positivement sur ses semblables et devenir source d’harmonie jusque dans le cosmos, résonnant ainsi avec les Demeures Célestes. Mais lorsqu’elles sont imprégnées de haine, de violence, de meurtre, de maléfice, de perversité et de corruption, elles peuvent affecter négativement les personnes qu’elles visent et devenir source de dysharmonie, de malheur, de déséquilibre et de mort jusque dans le cosmos, résonnant ainsi avec l’Enfer.

Nous vous avons déjà expliqué dans un précédent message (2) comment les domaines physique, psychique et spirituel se trouvaient connectés. N’ayez, chers frères, aucun doute à ce sujet : tout agit sur tout, le bien engendre le bien, le beau engendre le beau et tous deux élèvent l’âme humaine ; mais le mal engendre le mal, le laid engendre le laid et tous deux rabaissent l’âme humaine. Cela se produit concrètement à travers les variations de fréquence des vibrations énergétiques qui composent la matière, de la plus grossière jusqu’à la plus subtile. Il n’est, en vérité, absolument rien d’ésotérique dans nos propos, que vos scientifiques les plus éminents ne pourront que corroborer sans difficulté.

Vous comprendrez pourquoi, à l’approche de Noël, qui, au-delà de la paganisation de vos sociétés, reste toujours source d’émerveillement pour la plupart des enfants, il est si regrettable de voir des jouets d’une extrême laideur envahir le marché. Il s’agit de personnages hideux, difformes, monstrueux, aux allures androgynes, représentant les héros de mauvaises bandes dessinées, d’histoires malsaines ou de séries télévisées, que leurs auteurs, eux-mêmes corrompus par les forces du Mal, contraignent vos enfants à regarder, à aimer et à intégrer à leur vie quotidienne. Ensuite, la vue de personnages normaux présentant tous les critères de l’esthétisme les laissera complètement indifférents, tant ils seront attachés à leurs horreurs par ce processus de conditionnement.

Il en va de même pour toute une littérature malsaine où la frontière entre le bien et le mal a disparu, et où les différences entre le masculin et le féminin ont, comme par hasard, été gommées. Une littérature qui abêtit et abrutit vos enfants et nuit à leur développement intellectuel. Une littérature, enfin, qui les initie à des pseudo-valeurs qui ne sont que les vecteurs de théories perverses et d’une propagande pour un politiquement, socialement et intellectuellement « correct » censurant tous les propos qui contredisent leurs impérieux diktats.

Alors, chers frères, protégez vos enfants en contrôlant l’éducation qu’ils reçoivent dès leur plus jeune âge jusqu’en milieu scolaire. Ayez un œil sur leurs lectures et règlementez l’usage des téléphones portables et des ordinateurs sinon, vos bambins se transformeront en d’infâmes petits robots (3) manipulables à merci par des instances gouvernementales hostiles à l’Église catholique et à la foi en notre Seigneur Jésus-Christ.

Il est de votre devoir de chrétiens de veiller à ce que vos gouvernants n’entraînent point vos pays vers l’abîme de la mondialisation et leur conservent leur liberté de décision et d’action dans tous les domaines. Méfiez-vous des lois perverses et liberticides qu’ils tentent aujourd’hui d’édicter un peu partout, dans l’esprit du mondialisme, sous prétexte de vous protéger : en réalité, il ne s’agit là que d’une dictature déguisée. C’est pourquoi vous devez apprendre à déceler la supercherie à travers tous les propos qui émanent de vos autorités, même lorsqu’ils vous semblent justes ou séduisants.

En outre, ne laissez pas une inadmissible censure vous couper des informations les plus sérieuses dans quelque domaine que ce soit, et particulièrement dans le domaine sanitaire où certains grands laboratoires pharmaceutiques corrompus veulent continuer de faire leur loi.

Si vous naviguez intelligemment sur Internet, vous trouverez toutes les informations que vous souhaitez sur ces questions. Elles y sont communiquées par des spécialistes sérieux et compétents dont toutes les données sont sourcées, contrairement à la plupart de celles que vous communiquent vos gouvernants, qui, déployant un paternalisme trompeur, se font un devoir de censurer les autres – celles qui n’appartiennent pas au politiquement, socialement et intellectuellement « correct » !

Vous traversez, chers frères, des temps difficiles, où les « méchants » (4), voyant leurs plans capoter à la suite d’événements imprévus – que Dieu, grâce à vos prières, aura laissé advenir dans le but de les confondre -, ne lâchent cependant pas leur proie ! Ils ont plus d’un tour dans leur sac et vous pouvez vous attendre à un déballage de lois intolérables, qu’ils chercheront à faire passer coûte que coûte. Ne laissez pas vos gouvernants aller au bout de politiques qui servent le mondialisme et veulent prendre le contrôle de chacun d’entre vous et asservir les pays et les peuples. Ne laissez pas non plus ces ennemis de la foi détruire le christianisme et en règlementer la pratique.     

Mais que faire, demanderez-vous, pour que tout cela n’advienne ?

Que ceux qui sont engagés politiquement restent intègres et rusés comme des serpents (cf. Mt 10, 22) pour arriver à contrer ces malheureuses manœuvres. Quant à vous tous, efforcez-vous d’abord de vivre saintement, offrez à Dieu des sacrifices, jeûnez, faites l’aumône et continuez de prier sans relâche le Seigneur, sa sainte Mère et tous les saints du Ciel, afin que soient préservées vos libertés – celles des enfants de Dieu.

Priez aussi pour l’Église terrestre, et tout spécialement pour le pape, les cardinaux et les évêques, afin que, lorsqu’ils s’expriment sur des questions de morale ou veulent faire montre de modernité sous le couvert de la charité, ils ne s’égarent point dans des voies possiblement dangereuses pour l’institution tout entière – des voies qui, s’éloignant en vérité des Traditions divines, risquent de déstabiliser les chrétiens les plus intègres et de peiner Notre-Seigneur et toute la Cour céleste.

Que notre Seigneur Jésus-Christ et sa très sainte Mère vous bénissent et vous gardent.

+ Vos frères dans la Vérité

(1) V. Message du 3 juin 2023 de saint Paul, Apôtre de Jésus-Christ.

(2) V. Message du 31 mars 2019 de Vos frères dans la Vérité, Un Souffle qui passe… Tome 3.

(3) V. Message du 11 novembre 2018 de notre Seigneur Jésus-Christ, Un Souffle qui passe… Tome 3.

(4) V. Message du 1^er février 2023 de saint Paul, Apôtre de Jésus-Christ.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.