Message du 19 mai 2024





MESSAGE DE PENTECÔTE 2024

Mes chers enfants,

Pourquoi êtes-vous encore si nombreux à vous sentir irrépressiblement attirés par des personnes qui se targuent de posséder des « charismes » – laïcs, et même membres du clergé à qui vous accordez, compte tenu de leur ministère dans l’Église, toute votre confiance ? (1)

Pourquoi acceptez-vous, sans discernement aucun, toutes sortes de manifestations exaltées (2) et de messages prétendant venir du Ciel mais pour le moins douteux, qui pullulent aujourd’hui sur la Toile et risquent de vous égarer et de vous éloigner de la vraie foi ? Pourquoi parcourez-vous des kilomètres pour assister à des conférences ou des retraites spirituelles autour de supposés voyants ou de personnages qui se disent charismatiques dont vous espérez, bien sûr, obtenir une parole de science, quelque signe pour éperonner votre foi mal nourrie et inconstante, ou même une guérison miraculeuse (cf. 2 Tm 4, 3-5) ?

En vérité, je vous dis : plus grande est votre crédulité et plus vous risquez de vous faire manipuler et de vous éloigner des vérités de la foi. C’est pourquoi je vous exhorte, mes petits, en toute sagesse, à demander dans la prière du « Veni Sancte Spiritus » (3), à mon Esprit Paraclet – le vrai, l’authentique, celui de Pentecôte – de venir éclairer vos cœurs. Il serait, en effet, infiniment plus sage que vous vous abandonniez à lui, et que vous vous engagiez, en toute humilité et toute discrétion, sous la tutelle de ce Maître très sûr, dans la voie d’une authentique conversion, d’une authentique spiritualité et d’une authentique sainteté.

Par cet Esprit, en effet, c’est moi, mes petits, Deuxième Personne de la Trinité Sainte et Verbe de Dieu, qui viens visiter vos âmes, remplir vos cœurs des grâces du Ciel, illuminer vos esprits et affiner vos consciences pour faire de vous des saints – des saints qui aient pour vocation de marcher en ma sainte présence sur la Terre des vivants (cf. Ps 115 [Vulg. 114], 9). Par cet Esprit, c’est moi qui, dans l’intimité de vos cœurs, viens vous enseigner à vivre de mon Évangile, à respecter mes Commandements et à être des modèles de foi et de charité pour vos frères. Par cet Esprit, c’est moi qui vous donne ma paix et qui vous fais connaître le Père. C’est moi, enfin, qui suis le Pain de Vie et qui, en rassasiant vos âmes en état de grâce de mon Eucharistie, vous destine à participer à ma divinité pour l’Éternité dans les Demeures Célestes. 

Envoyé aux hommes par le Père en mon nom au lendemain de mon Ascension (cf. Jn 14, 16. 26), l’Esprit Saint est devenu votre hôte, mes chers enfants, au jour de votre Baptême et de votre Confirmation (cf. Jn 14, 17). L’avez-vous oublié ? Et chaque fois que vous me recevez dans la communion sacramentelle, vous accueillez encore en vous cet Esprit pour une transformation qui n’est pas des moindres : son rôle, en effet, est de fortifier votre foi, d’aiguiser votre discernement, de vous aider à combattre et à vaincre le Mal, et de faire de vous d’authentiques candidats à la sainteté et à la vie du Ciel. Prenez conscience de cela, mes chers enfants, et ne laissez pas votre foi se dénaturer au contact de prétendus thaumaturges qui fascinent des auditoires qui leur sont déjà acquis, persuadés qu’ils sont d’agir sous la motion de mon Esprit pour les enseigner et accomplir des miracles.

C’est pourquoi, mes petits, je vous dis encore : n’allez pas me chercher ailleurs qu’au-dedans de vous-mêmes ! Car vous risquez d’y trouver, mêlés à des propos que vous pourrez estimer d’une haute spiritualité et d’une grande sagesse, de la superstition, du lavage de cerveau, de la confusion, l’annonce de miracles qui ne se produiront pas, et de terrifiantes paroles sur les châtiments de l’Enfer ou sur l’avenir du monde. Telle n’est pas la vraie foi ! Ne vous laissez donc pas séduire, manipuler, voire fasciner ou fanatiser par de tels personnages. Ne vous laissez pas d’avantage effrayer, déstabiliser, peiner, décevoir ou décourager, car c’est là la griffe du Diable. En outre, si un jour, l’Église, votre Mère – qui a toujours mis ses enfants en garde contre les dangers de la fausse mystique – vient à s’inscrire en faux contre de tels « gourous », elle verra leurs adeptes et partisans inconditionnels s’indigner contre elle dans leur aveuglement, et le Diable, à nouveau, triomphera en provoquant en son sein une fois encore la division.

L’Esprit de Pentecôte, mes chers enfants, celui que vous fêtez aujourd’hui, n’est pas un esprit friand d’orgueil, d’ostentation, de gloriole, ni de désobéissance à mon Église. Ce n’est pas un esprit qui se complaît dans l’exaltation, voire dans l’hystérie collective. Comme vous l’enseigne l’Ancien Testament, Dieu n’est ni dans l’ouragan, ni dans le tremblement de terre, ni dans le feu, mais dans le discret murmure d’une brise légère (cf. 1 R 19, 11-12). Il s’est néanmoins manifesté à grand fracas dans les premiers temps de l’Église, comme le relatent les Actes des Apôtres (cf. Ac 1, 8 ; 2, 1-47), mais c’était alors sa manière d’en affermir les fondements. Ensuite, c’est à l’intérieur des âmes et dans la discrétion que Dieu s’est donné pour tâche d’agir par son Esprit.

Il en va de même, mes petits, des cloches de vos églises, qui, programmées pour carillonner à des moments bien précis, se taisent ensuite afin de laisser ces édifices remplir leur rôle. Les cloches, en effet, ne sonnent pas essentiellement pour faire admirer la beauté de leurs timbres mais dans le but de rassembler les fidèles à l’intérieur des églises pour le culte et la prière, et d’appeler ceux qui ne pratiquent plus à un retour vers les sacrements – et c’est bien là ce qui importe.

Alors, accueillez à l’intérieur de vous cet Esprit, mes chers enfants, et « branchez-vous » sur lui comme vous brancheriez un lampadaire sur une prise électrique à l’intérieur de vos maisons (4). Car si vous ne vous branchez pas, il ne pourra jamais vous gratifier de sa lumière, et vous tendrez, tels des païens tâtonnant dans leur obscurité, vers ce qui est charnel, vous conformant encore et encore à la chair (cf. Rm 8, 5 ; Ga 5, 19-21). Voici, en effet, quels sont les signes qui accompagnent cette obscurité intérieure : foi défaillante ou inexistante, faiblesse dans les tentations et propension à toutes sortes de péchés que sont l’orgueil, l’égoïsme, l’impureté, la concupiscence, l’adultère, le mensonge, la corruption, la malhonnêteté, le crime, le rejet de mon Église catholique et l’abandon des sacrements parallèlement à une fascination malsaine pour l’ésotérisme, l’occultisme, le syncrétisme religieux et les enseignements hérétiques. Mes petits, celui qui n’a pas mon Esprit appartient au monde, il ne m’appartient pas (Rm 8, 9).

Au contraire, si vous vous branchez comme vous branchez un lampadaire sur une prise, vous tendrez vers la lumière de ce qui est spirituel, vous conformant de plus en plus à cet Esprit (cf. Rm 8, 5 ; Ga 5, 22-25), et ne pourrez que constater l’action de son rayonnement : de jour en jour, en effet, vous grandirez en sagesse et deviendrez plus fervents dans la prière, plus assidu à la sainte messe, à l’adoration et aux lectures spirituelles ; vous prendrez plaisir à respecter mes Commandements, vous acquerrez plus d’amour et de compassion envers votre prochain, vous vous montrerez plus serviables envers les pauvres et les malades ; vos cœurs brûleront d’une plus grande charité, et vous m’offrirez volontiers aumônes et sacrifices, que vous unirez à ma Croix pour la conversion des pécheurs et le salut de leurs âmes. Mes petits, celui qui a mon Esprit m’appartient, il n’appartient pas au monde. Il fait partie des justes, et c’est mon Esprit qui le fait vivre (cf. Rm 8, 10).  

Si vous vous engagez sur cette voie de perfection, vous devez néanmoins toujours rester sur vos gardes, car tout désir de sainteté et tout effort pour y parvenir répugne à Satan, qui tentera immanquablement de vous décourager, de vous séduire, de vous aveugler, et de fausser votre foi en la dirigeant soit vers un intégrisme intolérant, imprégné d’orgueil et de jansénisme, soit vers une recherche insatiable de toutes sortes de prophéties et « révélations privées » qui, exercées en dehors du discernement de mon Église et de l’obéissance qui lui est due, risquent de véhiculer, sous des dehors apparemment spirituels, des idéologies mensongères ou des prédictions terrifiantes, et de vous éloigner des vérités de la foi et de la vertu d’espérance.

Si, par exemple, vous vous laissez captiver par des messages prétendant venir du Ciel et fasciner par des statues qui pleurent sans avoir encore de preuve que ce phénomène soit vrai, ou par d’ostensibles stigmates dont l’existence, s’ils sont authentiques, devrait plutôt rester cachée, ou par des extases dont l’origine peut être surnaturelle mais aussi pathologique ou démoniaque, ou par des guérisons « spontanées » jugées sur l’heure comme définitives alors qu’elles peuvent n’être que passagères – et cela en des contextes religieux où les cerveaux se voient saturés par une logorrhée de prières et de paroles persuasives, alors que les vrais miracles reconnus par mon Église nécessitent tout une batterie d’analyses médicales extrêmement sérieuses qui peuvent prendre des années – , il y a de grandes chances pour que vous perdiez votre temps ! Demandez-vous plutôt en quoi ces révélations privées – qu’elles soient authentiques ou non – touchent votre âme, et dans quelle mesure elles vous rapprochent de moi, rendent votre foi plus vive, votre vie plus sainte, votre charité plus profonde et votre espérance plus grande (5). Si ce n’est pas le cas, je vous invite à ne point vous y attarder car ce serait là le signe que le Diable tente de vous attirer dans ses pièges. Sachez, mes petits, que les hommes qui sont effectivement touchés par la grâce, exaucés ou même guéris, répugnent à se voir aduler, applaudir ou encenser, et préfèrent rester cachés et grandir dans l’humilité, car la grâce ne fait pas de bruit !

D’ailleurs, dès les premiers siècles de cette ère, Satan a été à l’origine de nombreuses hérésies et de tout une littérature ésotérique destinée à séduire les âmes faibles pour leur faire préférer la quête de phénomènes spectaculaires à celle de l’authentique Esprit de sainteté qui est le mien. Preuve en est tous les écrits apocryphes qui existent sur moi, où j’apparais, dès mon enfance, comme une sorte de magicien et faiseur de miracles extraordinaires – miracles qui ne visent, pour la plupart, aucune finalité sérieuse, à l’inverse de ceux qui sont consignés dans les Évangiles : il ne s’agit en vérité que de fadaises, de mièvrerie et de poison pour les âmes. Louée soit donc mon Église, qui a eu la sagesse de les écarter du canon des Écritures alors que leurs adeptes l’accusaient de les enfermer dans sa bibliothèque pour les garder secret.  

Les pouvoirs de l’Esprit, mes chers enfants, ne doivent pas être galvaudés. Je vous en ai donné l’exemple quand j’étais sur cette Terre. C’est pourquoi lorsqu’un charisme est authentique, il est toujours exercé dans l’humilité, la simplicité, la discrétion et l’obéissance à mon Église, pour le bien de tous et dans le respect de tous. Et lorsqu’un signe ou une guérison est authentique, ils sont toujours porteurs de véritables conversions.    

En fait de signe, le plus vrai et aussi le plus extraordinaire qui soit donné aujourd’hui à cette génération tortueuse, n’est-il pas encore le signe de Jonas (cf. Lc 11, 29-30) ? Heureux donc ceux qui croient qu’après mon dernier souffle sur le bois de la Croix et mon passage par le Séjour des morts, j’ai été ressuscité au troisième jour, et que je suis monté au Ciel pour que vous soit envoyé l’Esprit Saint ! Et heureux ceux qui, par l’opération de ce même Esprit, écoutent ma Parole et la gardent (cf. Lc 11, 28) pour devenir, dès cette Terre, des modèles vivants de charité et de sainteté. Moi qui suis Dieu, je peux, par mon Esprit, rester en vous durablement dans la mesure où votre âme, rendue sans souillure par le sacrement de Pénitence et nourrie de mon Eucharistie, m’y accueille et m’y garde pour croître en perfection.

Ceux d’entre vous qui continuent de rechercher des signes et des manifestations extérieures extraordinaires seront toujours de perpétuels insatisfaits, car, après avoir vécu de grands moments d’exaltation où leurs émotions ont été exacerbées, ils se mettent souvent à déchanter et retrouvent, à leur grand désespoir, leur tiédeur, leurs doutes, leurs contradictions et leurs péchés de naguère. Parfois même, leur foi chancelle et devient si incertaine que lorsque se présente une contrariété, un échec, une maladie, le décès d’un être cher ou tout autre forme d’épreuve, ils s’en trouvent aussitôt bouleversés ou anéantis. Si mon Esprit Paraclet – le vrai, l’authentique, celui de Pentecôte – les animait vraiment, alors, il n’en serait pas ainsi.

C’est pourquoi il convient, mes petits, de cultiver la vraie foi et de rechercher la vraie spiritualité, celle de l’Esprit de Pentecôte, là où elle se trouve vraiment, c’est-à-dire en vous-mêmes, tout au fond de vos cœurs, où cet Esprit peut s’installer lorsque vous êtes en état de grâce, vous permettre de conserver ce même état, et vous gratifier de ses dons. Afin de vous y aider, mon Église a su, au fil des siècles, sous l’influence de ce même Esprit, Troisième Personne de la Trinité Sainte, enrichir son enseignement par les textes de ses conciles, certains écrits de ses papes, de ses congrégations ou dicastères, les témoignages et les œuvres de ses Pères, de ses docteurs, et de tous ceux et celles qu’elle a déclarés saints en raison de la manière héroïque dont ils ont pratiqué les vertus chrétiennes. Lisez-les ! En outre, mon saint vicaire Jean-Paul II vous a offert un Catéchisme clair et précis, destiné à nourrir votre foi et à vous protéger des dérives. Lisez-le ! D’excellents théologiens ont également rédigé des ouvrages d’une orthodoxie que nul ne saurait mettre en doute – pendant que d’autres, au contraire, sous l’influence de Satan, continuent de semer, au sein de mon Église, le doute, le trouble et la division, fascinés qu’ils sont par une spiritualité universaliste, d’esprit syncrétiste, et par l’utopie mondialiste, qu’ils veulent faire passer pour chrétienne alors qu’elle est d’essence diabolique. Qu’ils relisent donc l’épisode de Babel (cf. Gn 11, 1-9), en tirent une leçon, et qu’ils se taisent !

Il y a plus de deux mille ans, dans mon Évangile, je vous mettais en garde à l’avance : si l’on vous dit que je suis ici ou là, dans le désert ou dans le fond de la maison, n’en croyez rien ! (cf. Mt 24, 23. 26). J’ajouterai aujourd’hui : si l’on vous dit, de même, que ma sainte Mère est ici ou là, que tel saint apparaît dans tel ou tel endroit, sachez conserver votre prudence et votre discernement avant que de vous précipiter frénétiquement sur les lieux, telles des éphémères en quête de lumière. C’est pourquoi je préférerais que vous réserviez votre enthousiasme pour m’adorer dans le Saint-Sacrement, ou me prier au pied des tabernacles de vos églises, de vos cathédrales, de vos sanctuaires, où une petite lumière rouge vous rappelle clairement que j’y suis toujours réellement présent : c’est une vérité de foi !

Si l’on vous gave de prophéties de malheur signées de mon nom, de celui de ma sainte Mère ou de quelque ange ou saint descendu du Ciel, ne les écoutez pas ! Si l’on vous somme de faire des provisions de guerre et de bouche, ou de quitter votre lieu de résidence pour éviter telle ou telle prophétie catastrophiste – et, partant, la mort elle-même –, ne suivez pas ces consignes extravagantes qui fleurissent aujourd’hui sur la Toile et dans certains milieux exaltés. Car, mes chers enfants, où que vous soyez et quoi que vous fassiez, l’heure de votre mort est déjà inscrite dans les Cieux, à moins que le Père, pour des raisons qui n’appartiennent qu’à lui, n’en décide autrement. S’il veut vous préserver de la mort, vous n’aurez besoin de déménager ni aujourd’hui ni demain puisque, avec l’assistance de ses anges, il fera toujours en sorte que vous ne vous trouviez pas au mauvais endroit au mauvais moment. 

Mes petits, si vous l’y sollicitez, mon Esprit viendra habiter en chacun de vous pour vous combler de ses sept dons sacrés et faire de vous ses temples de prédilection, des temples sans souillure. Vous voulez des signes ? Vous voulez des prodiges ? L’installation de Dieu au plus profond de vous pour y résider jusqu’à la fin de votre vie et vous faire participer à sa divinité, les dépasse tous !

Alors, mes chers enfants, accueillez donc l’Esprit Saint en vos cœurs et gardez confiance en mon Église, dont le rôle n’est pas d’éteindre l’Esprit, mais de discerner ce qui est bon pour tout chrétien. Si vous restez fidèles à l’Esprit de Pentecôte, il vous emplira d’humilité et de révérence envers la Trinité Sainte, de piété, de sagesse et de force. Il vous donnera l’intelligence et la science des choses d’En-haut, et vous indiquera toujours, dans la prière, le meilleur chemin à prendre ou le meilleur choix à faire. Il vous gardera dans la fidélité à mes Commandements (cf. Jn 14, 15) et vous communiquera ma paix chaque fois que vous me la demanderez. Esprit de Vérité, il vous assistera dans le doute et affinera votre discernement. Esprit Consolateur, il adoucira vos peines et vos chagrins, et vous donnera le courage de continuer le combat spirituel jusque dans la Vie Éternelle. Esprit de guérison, il fortifiera vos corps, pansera vos blessures, et quoi qu’il vous arrive en cette vie, il sera toujours avec vous pour vous secourir. Il ne permettra jamais que vous vous fourvoyiez, que vous perdiez espoir ou que vous abandonniez votre foi.

Le meilleur moyen de lui rester fidèles est de vous placer sous le manteau de ma très sainte Mère, la Vierge Marie, et de la laisser vous conduire à moi, tous les jours de votre vie dans une prière sincère et fervente. En priant et méditant les mystères du Rosaire, vous ne pouvez qu’élever votre âme vers le Ciel et en retirer tout l’amour, toute la force et tout le courage nécessaires pour traverser saintement et sans encombre ces temps d’apostasie si éprouvants pour tous ceux qui me sont fidèles. Amen, amen, je vous dis, mes petits : restez dans l’espérance, veillez et priez sans relâche ! Si vous persévérez, vous verrez la lumière éclairer de nouveau le monde avec l’avènement d’un temps de vérité et de justice où chacun sera confronté à ses propres erreurs et devra en assumer les retombées, tant dans le domaine sanitaire que dans le domaine politique, économique, militaire et religieux. Bonne fête de Pentecôte, mes chers enfants !

Je vous bénis,        

Jésus

(1) V. Message du 14 juillet 2019 et Message du 16 avril 2020 de notre Seigneur Jésus-Christ, Un Souffle qui passe…, Tome III.

(2) V. Message du 26 juillet 1993 de Vos frères dans la Vérité, Un Souffle qui passe…, Tome II.

(3) Cf. le Veni Sancte Spiritus, repris en note 4 du Message du 20 juin 2021 de Vos frères dans la Vérité.

(4) V. Message de Pentecôte du 10 juin 1984 (I), Un Souffle qui passe…, Tome I, et Message de Pentecôte du 24 mai 2023 de Vos frères dans l’Esprit Saint.

(5) V. Message de l’Ascension du 21 mai 2020 (I), Un Souffle qui passe…, Tome III et Message du 18 octobre 2021 tous deux de notre Seigneur Jésus-Christ.

Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.